bonjour aidez moi svp

À peine entre-t-on dans la ville que l'on est étourd…… par le fracas d'une machine bruyant …… et terrible en apparence. Vingt marteaux pesant……, et retombant avec un bruit qui fait trembl…… le pavé, sont élev…… par une roue que l'eau du torrent fait mouvoir. Chacun de ces marteaux fabriqu……, chaque jour, je ne sais combien de clous. Ce sont des jeunes filles fraîches et joli…… qui présent…… au…… coups de ces marteaux énormes les petits morceau…… de fer qui sont rapidement transform…… en clou……. Ce travail, si rude en apparence, est un de c…… qui étonn…… le plus le voyageur qui pénètre pour la première fois dans les montagnes qui sépar…… la France de l'Helvétie. Si, en entrant à Verrières, le voyageur demande à qui appartient cette belle fabrique de clous qui assourdit les gens qui montent la grande rue, on lui répond avec un accent traînard : « hé ! Elle est à Monsieur le maire ».
Stendhal, Le rouge le noir, 1830.
2. Réécrivez la première phrase en remplaçant on par nous. Opérer toutes les transformations nécessaires.…/2, 5
3. Réécrivez depuis « Si, en entrant à Verrières » jusqu'à la fin du texte, en mettant au pluriel voyageur et fabrique. Opérer toutes les transformations nécessaires…/2, 5


Sagot :

Réponse :

bonjour

Explications :

2.  A peine entrons-nous dans la ville que nous sommes étourdis...par le fracas d'une machine bruyante..et terrible en apparence.

3. Si, en entrant à Verrières, les voyageurs demandent à qui appartiennent ces belles fabriques de clous qui assourdissent les gens qui montent la grande rue, on leur répond avec un accent traînard : "Hé! Elles sont à Monsieur le Maire""

Hello ! ^^

2. Réécrivez la première phrase en remplaçant "on" par "nous".

À peine entrons-nous dans la ville que nous sommes étourdis par le fracas d'une machine bruyante et terrible en apparence.

3. Réécrivez depuis « Si, en entrant à Verrières » jusqu'à la fin du texte, en mettant au pluriel voyageur et fabrique.

Si, en entrant à Verrières, les voyageurs demandent à qui appartiennent ces belles fabriques de clous qui assourdissent les gens qui montent la grande rue, on leur répond avec un accent traînard : « Hé ! Elles sont à Monsieur le maire ».

× × en espérant t'avoir aidé(e) ! × ×