Bonjour, pour cette exercice je dois rajouté des s,és,er etc si il y en n'a besoin

merci a ceux qui m'aideront


"Sur la place de la gare, une foule éperdu……………..… tourbillonnait. Beaucoup de gens étaient venu……………..… dans l’espoir de prendre le train pour gagner quelque autre ville qu’ils pensaient épargné……………..… par le fléau. Mais sur les portes close……………..… , une affiche tracé……………..… à la main annonçait que rien ne fonctionnait plus. Des hommes avaient traîné……………..… leur famille entière […], la mère et tous les enfants encombré……………..… de colis. Ils arrivaient à la gare, se heurtaient aux portes fermé…………..…, lisaient l’avis et reprenaient, effaré……………..…, le chemin de leur domicile. Que faire, où aller, comment quitter la capitale où ils ne trouveraient bientôt plus de quoi manger ? Certains, découragé……………..… , s’asseyaient sur leurs valises, et mêlaient leurs larmes à la sueur qui coulait sur leur visage. Extrait de Barjavel, Ravage

Des étourdis j’en ai beaucoup vu………..mais comme toi, je n’en ai jamais…. ! Les sentiments qu’elle avait éprouvé……………pour lui avaient disparu………….et elle en était troublé………….. Les enfants sont étonné………….qu’on les ait laissé………………..jouer dehors."


Merci à ceux qui m'aideront

Sagot :

Réponse :

bonjour :)

Explications :

- éperdue  ( épithète de"" foule)

- venus (  sujet "gens")

- épargnée (ville)

- closes (portes)

- tracée (affiche)

- traîné

- encombrés (la mère et tous les enfants)

- fermées (portes)

- effarés (ils)

- découragés (certains)

- vus (étourdis)

- vu

- éprouvés (sentiments COD placé avant le verbe "avoir" donc accord du participe avec le COD)

- disparu

- troublée (elle)

- étonnés (les enfants)

- laissés (qu' = les enfants)

Sur la place de la gare, une foule éperdue tourbillonnait. Beaucoup de gens étaient venus dans l’espoir de prendre le train pour gagner quelques autres villes qu’ils pensaient épargnées par le fléau. Mais sur les portes closes , une affiche tracée à la main annonçait que rien ne fonctionnait plus. Des hommes avaient traîné leur famille entière , la mère et tous les enfants encombrés de colis. Ils arrivaient à la gare, se heurtaient aux portes fermées, lisaient l’avis et reprenaient, effarés, le chemin de leur domicile. Que faire, où aller, comment quitter la capitale où ils ne trouveraient bientôt plus de quoi manger ? Certains, découragés , s’asseyaient sur leurs valises, et mêlaient leurs larmes à la sueur qui coulait sur leur visage. Extrait de Barjavel, Ravage

Des étourdis j’en ai beaucoup vu mais comme toi, je n’en ai jamais! Les sentiments qu’elle avait éprouvés pour lui avaient disparus et elle en était troublée Les enfants sont étonnés qu’on les ait laissé jouer dehors."