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Texte 1 : réécris ce texte au présent en remplaçant « je » par « il »
Je partis à travers les champs. Ah ! le cœur me battait ! Le printemps rayonnait dans toute sa splendeur. Et quand je poussai le portail donnant sur la prairie, mille parfums d’herbes, d’arbres, d’écorce fraîche me sautèrent au visage. Je courus sans me retourner jusqu’à un boqueteau. Des abeilles y dansaient. Tout l’air, où flottaient les pollens, vibrait du frémissement de leurs ailes.
L’enfant et la rivière , Henri Bosco
Texte 2 : réécris ce texte au futur en commençant par : « Quand je serai grand.... »
Je suis journaliste. Je voyage dans le Monde entier à la recherche d’articles intéressants. Les différents pays que je visite, me permettent de rencontrer toutes sortes de choses, de cultures. Mon photographe m’accompagne partout et nous sommes souvent loin de chez nous. Vous lisez souvent mes articles dans les journaux, que je signe de mon prénom. Quand nous sommes de retour en France, nous apprécions quelques jours de repos. Mais très vite, il nous faut repartir vers de nouveaux reportages. Mon métier est vraiment très fabuleux.
Texte 3 : réécrire le texte au passé composé
Alors Achille imagine un sort déshonorant pour Hector. Il lui perce les tendons entre la cheville et le talon, y passe des courroies qu’il attache à son char, en laissant traîner la tête. Il monte sur son char avec les armes illustres d’Hector et fouette ses chevaux qui partent au triple galop.
Le cadavre, ainsi tiré, soulève un nuage de poussière. Ses cheveux noirs se déploient et sa tête, autrefois si belle, traîne sur le sol. Homère, L’Iliade ( chant XXII)
Si vous pouvez m’aidez svp

Sagot :

Bonjour,

Texte 1 :

Il partit à travers les champs. Ah ! le cœur le battait ! Le printemps rayonnait dans toute sa splendeur. Et quand il poussait le portail donnant sur la prairie, mille parfums d’herbes, d’arbres, d’écorce fraîche lui sautèrent au visage. Il courut sans se retourner jusqu’à un boqueteau. Des abeilles y dansaient. Tout l’air, où flottaient les pollens, vibrait du frémissement de leurs ailes.

L’enfant et la rivière , Henri Bosco

Texte 2 :

Quand je serai grand je serai journaliste. Je voyagerai dans le Monde entier à la recherche d’articles intéressants. Les différents pays que je visiterai, me permettront de rencontrer toutes sortes de choses, de cultures. Mon photographe m’accompagnera partout et nous serons souvent loin de chez nous. Vous lirez souvent mes articles dans les journaux, que je signerai de mon prénom. Quand nous serons de retour en France, nous apprécierons quelques jours de repos. Mais très vite, il nous faudra repartir vers de nouveaux reportages. Mon métier sera vraiment très fabuleux.

Texte 3 :

Alors Achille a imaginé un sort déshonorant pour Hector. Il lui a percé les tendons entre la cheville et le talon, y a passé des courroies qu’il a attachées à son char, en laissant traîner la tête. Il est monté sur son char avec les armes illustres d’Hector et a fouetté ses chevaux qui sont partis au triple galop.

Le cadavre, ainsi tiré, a soulevé un nuage de poussière. Ses cheveux noirs se sont déployé et sa tête, autrefois si belle, a traîné sur le sol. Homère, L’Iliade ( chant XXII)

Bonjour,

Il part à travers les champs. Ah ! le cœur lui bat ! Le printemps rayonne dans toute sa splendeur. Et quand il pousse le portail donnant sur la prairie, mille parfums d'herbes, d'arbres, d'écorce fraîche lui sautent au visage. Il court sans se retourner jusqu'à un boqueteau. Des abeilles y dansent. Tout l'air, où flottent les pollens, vibre du frémissement de leurs ailes.

Quand je serai grand, je serai journaliste. Je voyagerai dans le Monde entier à la recherche d'articles intéressants. Les différents pays que je visiterai, me permettront de rencontrer toutes sortes de choses, de cultures. Mon photographe m'accompagnera partout et nous serons souvent loin de chez nous. Vous lirez souvent mes articles dans les journaux, que je signerai de mon prénom. Quand nous serons de retour en France, nous apprécierons quelques jours de repos. Mais très vite, il nous faudra repartir vers de nouveaux reportages. Mon métier sera vraiment très fabuleux.

Alors Achille a imaginé un sort déshonorant pour Hector. Il lui a percé les tendons entre la cheville et le talon, y a passé les courroies qu'il a attaché à son char avec les armes illustres d'Hector et a fouetté ses chevaux qui sont partis au triple galop. Le cadavre, ainsi tiré, a soulevé un nuage de poussière. Ses cheveux noirs se sont déployés et sa tête, autrefois si belle, a traîné sur le sol.

J'espère t'avoir aidé

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