Sagot :
Réponse :
Ayant enfin reconquit ma raison, j'eus soif de nouveau ; j’allumait une bougie et j'allai vers la table où était posé ma caraffe. Je la soulevai en la penchant sur mon verre ; rien ne coulat. - Elle était vide ! Elle était vide complètement ! D'abord, je ni compris rien ; puis, tout-à-coup, je ressentis une émotion si terrible, que je dus m'assoir, où plutôt, que je tombai sur une chaise ! Puis, je me redressai d'un saut pour regardé autour de moi !
Puis je me rassis, éperdu d'étonnement et de peur, devant le cristal transparant ! Je le contemplais avec des yeux fixes, cherchant à deviner. Mes mains tremblaient ! Ont avait donc bue cette eau ? Qui ? Moi ? Moi sans doute ? Se ne pouvait être que moi ? Alors, j'étais somnambule, je vivais, sans le savoir, de cette double vie mystérieuse qui fait douter s'il y a deux être en nous, ou si un étranger, inconaissable et invisible, animes, par moments, quand notre ame est engourdie, notre corps captif qui obéit à cet autre, comme à nous-mêmes, plus qu'a nous-même.
reconquis : pp
j'allumai : passé simple
carafe
coula (passé simple 3° personne) n'y
tout à coup
asseoir
transparent
On pronom indéfini bu participe passé de boire (cod derrière le verbe avoir)
Ce
êtres (pluriel)
inconnaissable
anime (sujet : étranger) moment
âme
à
nous-mêmes
Explications :
Réponse :
Bonjour
Explications :
Ayant enfin reconquis ( participe passé,terminaison s, car au féminin, cela donne reconquise) ma raison, j'eus soif de nouveau ; j’allumais (1ère personne du singulier de l'imparfait) une bougie et j'allais (imparfait, 1ère personne du singulier) vers la table où était posée (s'accorde avec carafe, féminin, singulier) ma carafe (faute de vocabulaire, un seul f). Je la soulevai en la penchant sur mon verre ; rien ne coula (terminaison du passé-simple, 3 ème personne du singulier) . - Elle était vide! Elle était vide complètement ! D'abord, je n'y (n'y est formé de deux mots : n', adverbe de négation, suivi du pronom y) compris rien ; puis, tout-à-coup, je ressentis une émotion si terrible, que je dus m'assoir, où plutôt, que je tombai sur une chaise ! Puis, je me redressai d'un saut pour regarder (tu peux remplacer par un verbe du 3ème groupe, donc er) autour de moi !
Puis je me rassis, éperdu d'étonnement et de peur, devant le cristal transparent (vocabulaire) ! Je le contemplai (passé-simpe) avec des yeux fixes, cherchant à deviner. Mes mains tremblaient ! On (pronom personnel, tu peux remplacer par il) avait donc bu (participe passé employé avec avoir, ne s'accorde que si le COD est placé avant, ici, invariable) cette eau ? Qui ? Moi ? Moi sans doute ? Ce( ce, tu peux remplacer par cela) ne pouvait être que moi ? Alors, j'étais somnambule, je vivais, sans le savoir, de cette double vie mystérieuse qui fait douter s'il y a deux êtres (nom commun, s'accorde avec deux, pluriel) en nous, ou si un étranger, inconnaissable (vocabulaire) et invisible, animés, (s'accorde avec deux êtres) par moment (reste au singulier) quand notre âme (vocabulaire) est engourdie, notre corps captif qui obéit à cet autre, comme à nous-même (pas de s, car sous-entendu à moi), plus qu'à (préposition) nous-même.