Sagot :
Bonjour,
Les Malheurs du "Harcelé "
Quand je marche dans la rue,
Sans hâte de voir quelle surprise m'attend,
Comme si j'étais déjà abattu,
Je me fais tout petit comme un enfant.
Tout à coup les trois redoutables sont là,
Et je sens que la mort viendra,
Je crois être déjà en enfer,
Avec pour image la guerre.
Ils m'insultent,me frappent et me ridiculisent devant tout le monde,
Mais, personne n'intervient ou ne réagit,
J'ai honte et mon visage s'assombrit,
C'est pour moi ma dernière seconde.
A la fin je suis en pleurs avec mes habits déchirés
Tout seul dans mon coin dépassé par l'émotion,
Avec moi mon cartable et mon goûter écrasés,
Je ne le montre pas,mais je suis si triste au fond.
En entendant tout ça mon amie vient me réconforter,
En disant que l'on irait à la police les dénoncer,
Depuis, je n'ai plus de problème avec eux,
ils ont disparu et tout s'est arrangé pour le mieux.