Réponse :
3) La narrateur semble victime d'une menace imaginaire. Rien dans le récit ne justifie la panique qui s'empare de lui. personne, pas un animal. Paris est vie dans la nuit. IL semble victime d'hallucinations et semble sombrer dans la folie surtout quand il descend vers la Seine. Les répétitions montrent qu'il bredouille comme un égaré, un halluciné.
4) La nuit peut favorise des peurs irraisonnées parce que la vue ne nous permet plus de trouver des repères. Les bruits sont amplifiés. La solitude aussi empêche de se rassurer alors les idées s'emballent.
Explications :