Réponse :
On me changea de cellule. De celle-ci, une fois allongé, je vis le ciel et ne vis que lui. Toutes mes journées se passèrent à regarder sur son visage le déclin des couleurs qui conduisit le jour à la nuit. Couché, je passai les mains sous ma tête et attendis. Je ne sus combien de fois je me demandai s'il y avait des exemples de condamnés à mort qui échappèrent au mécanisme implacable.
Explications :