Sagot :
Lettre de Fantine à sa fille Cosette
A Paris ce 26e Avril, 1862
A ma fille cosette :
Ma chère bonne,je sais que quand tu seras grande t'auras besoin de savoir plus sur ta mère.
Alors j'ai écrit cette lettre :
Quand j’ai rencontré ton Père, j’étais jeune et naïve, j'aimais cette idée de l’’amour.Cette idée d'aimer quelqu'un de tout mon cœur. Je lui faisais confiance, je l'’aimais et j'ai pensé qu'un jour nous pourrions former une famille, mais finalement je n'étais rien de plus qu'une aventurepour lui. Je ne savais rien sur lui. Tu es né de cette relation de courte durée, depuis le premier instant que je t'ai vu, je t'aimais, tu étais si petit et si fragile.Mais hélas, je ne pouvais pas prendre soin de toi, mon ange. Je travaillais pour une entreprise prospère et j'aiété licencié. Alors je t’ai confie aux Thénardier, ils avaient des enfants tupourrais jouer avec eux. Chaque mois, je les envoyé de l'’argent pour prendre soin de toi. Le jour où je t’ai laissé dans la maison dés Thénardier, c’était le jour le plus triste de ma vie,après tout tu es une partie de moi.
Un jour, j'ai reçu une lettre dés Thénardier disant tu étais malade et qu’il te fallait des drogues chères et que si je n'envoyais pas de l'argent pour acheter desdrogues tu serais mort. Alors j’ai vendu mes deux palettes a un dentiste pour deux napoléons, et après que j'ai envoyé l'argent. Apres ils m’ont envoyé une autre lettre disant que si je ne envoyé pascent francs qu’il mettrait ma fille a la porte (toi).
A Paris ce 26e Avril, 1862
A ma fille cosette :
Ma chère bonne,je sais que quand tu seras grande t'auras besoin de savoir plus sur ta mère.
Alors j'ai écrit cette lettre :
Quand j’ai rencontré ton Père, j’étais jeune et naïve, j'aimais cette idée de l’’amour.Cette idée d'aimer quelqu'un de tout mon cœur. Je lui faisais confiance, je l'’aimais et j'ai pensé qu'un jour nous pourrions former une famille, mais finalement je n'étais rien de plus qu'une aventurepour lui. Je ne savais rien sur lui. Tu es né de cette relation de courte durée, depuis le premier instant que je t'ai vu, je t'aimais, tu étais si petit et si fragile.Mais hélas, je ne pouvais pas prendre soin de toi, mon ange. Je travaillais pour une entreprise prospère et j'aiété licencié. Alors je t’ai confie aux Thénardier, ils avaient des enfants tupourrais jouer avec eux. Chaque mois, je les envoyé de l'’argent pour prendre soin de toi. Le jour où je t’ai laissé dans la maison dés Thénardier, c’était le jour le plus triste de ma vie,après tout tu es une partie de moi.
Un jour, j'ai reçu une lettre dés Thénardier disant tu étais malade et qu’il te fallait des drogues chères et que si je n'envoyais pas de l'argent pour acheter desdrogues tu serais mort. Alors j’ai vendu mes deux palettes a un dentiste pour deux napoléons, et après que j'ai envoyé l'argent. Apres ils m’ont envoyé une autre lettre disant que si je ne envoyé pascent francs qu’il mettrait ma fille a la porte (toi).