avec un groupe d'amis,vous passez la nuit sous une tente dans une forêt,au milieu de la nuit imaginez et rédigez une suite dans la quelle vous introduisez un avertissement anuonçant le fantastique​

Sagot :

Réponse :

Bonjour !

Explications :

Ce que j'ai à vous raconter est une histoire bien étrange. Vous n'y croirez sûrement pas, mais sachez que je ne suis pas folle.

C'était une nuit d'été, et nous étions dans une forêt, mes copains (Justine, James, Hugo, Camilla et Bob) et moi. Nous étions assis au bord du feu.

- On va se coucher ? demanda Justine.

Nous nous sommes tous levés et nous sommes allés dans nos tentes respectives. J'étais avec Camilla et Justine.

- Ça va être carrément drôle... Imagines qu'il aurais des monstres dans cette forêt...! a dit Camilla, au bord de l’hystérie. Je crois que c'était une très mauvaise idée de l'emmener.

- Arrêtes un peu ! a dit Justine, un peu agacée. On va se coucher là.

- Oui... excuses-moi. s'est excusé Camilla en toussant.

Nous étions couché.

Je n'arrivais pas à dormir. Je ressentais une étrange sensation, je ressentais comme un pressentiment, quelque chose de négatif.. Je me suis dit "tu es dans une forêt Sarah".

Mais quand je l'ai entendu, cette chose. La peur m'avait prise, moi innocente et peureuse comme j'étais. C'était un cri déchirant, brisant le silence de la nuit. Un cri inhumain. Camilla et Justine se sont réveillées en sursaut.

- C'était quoi ça ? a demandé Camilla.

- Les garçons doivent nous faire une blague... a dit Justine. Je voyais qu'elle n'était pas rassuré. Nous sommes sortit de la tente. Je ressentais un vertige.

Nous nous sommes dirigés vers la tente des garçons. Ils n'y étaient pas.

- Tu as vu ? m'a dit Justine. C'est les garçons.

Tout à coup, une lampe de torche nous aveugla. C'était les garçons.

- Elle était pas drôle votre blague les gars, a dit Camilla

- De quoi tu parles ? a demandé Bob. On pensait que c'était vous qui aviez imité ce cri. Dis donc vous imitez très bien le loup-garou !

- C'est pas nous Bob. On pensez nous aussi que c'était vous.

Soudain, de nouveau le cri. Le sang se glaça dans mes veines.

On s'est tous regardé. La sueur dégoulinait dans mon dos. Nous étions tous comme des petits chiens apeurés.

Et c'est à ce moment là que ça à commencer. Je n'y croyait pas mes yeux. Les arbres étaient en train de se déraciner, et ils commençaient à se déplacer. Certains discutaient même entre eux. L'horreur me frappa au visage. Je me suis retourné pour vérifier que je n'étais pas folle et qu'ils voyaient tous comme moi. Ils étaient bouche bée, leurs yeux sortaient de leurs orbites.

- C'est... c'est... c'est qu...qu...quoi ça ?!? s'est écrié Hugo.

Les fleurs se déplaçaient comme des millions de petites fourmis et elles étaient en train de fouiller dans nos affaires. Une marguerite portait sur sa tête mon chapeau, une autre regardait fixement le feu. Le bois s'était mis sur ses "pattes" et il marchait tranquillement, comme si de rien n'était. J'étais pétrifiée, cloué sur place je ne pouvais plus bouger.

Soudain, un arbre nous vit. Il s'approcha de nous. L'horreur que je ressentis fut si forte que je crus que j'allais m'évanouir. Il nous regardait, comme des animaux du zoo.

- Oh mon dieu... Je deviens fou... a chuchoté James.

Tout à coup, la lune s'est mis à briller si fort que nous étions aveuglé. Nous avons mis nos mains devant notre visage. Quand nous avons ouvert nos yeux, tous étaient parfaitement normal. Plus d'arbres qui bougent, les fleurs étaient là, le bois aussi.

- On s'en va. a dit Justine. Je ne reviens plus jamais ici.

Alors on est partit, le doute se mêlait à nos questions.

J'espère avoir pu t'aider ;-)