Alors pour la première réécriture c’est: Voici le moment attendu où ils peuvent étaler le volume sur leur lit, l’ouvrir à l’endroit où ils été forcés de l’abandonner... Ils s’y jettent, ils tombent, impossible de les laisser s’arrêter.
Pour la deuxième c’est:
Les enfants, les fesses collés, les talons plantés, se mettent à trembler dans les ténèbres. Elles sont si épaisses qu’ils se croient aveugles. Parfois une rafale les enveloppent, comme un drap glacé, pour les emporter. Des renards, des loups même, ne leur soufflent-ils pas dans leur doigts, sur leur joue ? Le mieux est de se précipiter, au jugé, vers les poules, les têtes en avant, afin de trouver l’ombre.
Voilà