Bonjour,
Réécris le passage en utilisant un vocabulaire péjoratif pour assombrir la journée :
Je n’aime pas ma maison où j’ai grandi. De mes fenêtres, je vois des immeubles qui se construisent, le long de mon parking, derrière la route, presque chez moi, les plaques d'égout qui dégagent des odeurs nauséabondes.
À gauche, là-bas, Rouen, la vaste ville polluée et engluée, bordée par une autoroute interminable. Les camions qui circulent y sont innombrables, cernés par des semblants d'espaces verts mal entretenus qui dominent dans l’air pollué des tristes matinées, jetant jusqu’à moi cette pluie incessante, ces rues sales, son air lugubre, ainsi que l'amabilité bien cachée de ses habitants.