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Sagot :

Réponse :

J’ai aperçu un lézard [qui se faufilait] entre les pierres (subordonnée relative, conjonctive (non !) – complément de l’antécédent, COD (non!)).

On espère [que notre équipe remportera le match] (subordonnée relative (non !), subordonnée conjonctive, subordonnée complétive – complément de l’antécédent (non !), COD.

Explications :

Les bonnes réponses ci-dessus sont signalées en caractères gras.

Le subordonnant est ce qui introduit une proposition subordonnée à la principale.

1. Lorque l'antécédent du subordonnant est un nom ou se rapporte à un nom placé devant, il s'agit d'une subordonnée relative. Elle est relative au nom qui la précède. Elle est donc complément de l'antécédent.

Elle rajoute une information à un nom et est donc expansion du nom (3 types d'expansions du nom : adjectif, complément de nom, subordonnée relative).

antécédent de "qui" est le nom commun "lézard".

2. Lorque que l'antécédent du subordonnant est un verbe, il s'agit d'une subordonnée complétive ou .conjonctive complétive. Elle complète le verbe qui est l'antécédent ou placé devant le subordonnant et est donc dans cette phrase complément d'objet direct. On espère quoi ? On espère que notre équipe remportera le match. Si la phrase avait été celle-ci ; On est sûr que notre équipe remportera le match. La complétive introduite par que serait complément d'objet indirect, parce que c'est la réponse à la question : on est sûr DE QUOI ?

Il y a toujours deux règles de grammaire différentes selon qu'il s'agisse d'un nom ou d'un verbe.

Pronom relatif : qui, que, quoi, dont, où, lequel... nom+pronom relatif

Conjonction de subordination : que, comme, lorsque, quand, puisque, si...

                                                                                verbe+ conjonction de subordination ou locution conjonctive (après que, avant que, tandis que, etc.)

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