1) a. Première partie: ligne 1 à 21. L'action est décrite du point de vue du personnage principale (point de vue interne) en utilisant la première personne du singulier. Le temps utilisé est le présent de narration.
Titre : Albert croit voler
Deuxième partie: ligne 22 à 37. L'action est décrite à a 3ème personne du singulier (point de vue externe). Temps utilisés: passé simple, imparfait, passé composé. Titre: la mort d'Albert.
b. 1er partie: ligne 1 à 11. 2eme partie ligne 12 à 21. Chaque partie désigne un vol différent.
2)a On appelle ça un incipit ou in media res
b. L'incipit permet aux lecteur d'être plongés dans l'action dès le début du texte. Cela intrigue et captive l'attention.
3)a. Je dirais métonymie pour la phrase "Je vis d'abondance". "Abondance" est utilisée pour décrire autre chose, l'extase, le rêve. Et analogie ou métaphore pour l'expression "Je glisse comme le vent".
b. Cette facilité est due au fait que le personnage principal est en train de rêver pendant son "vol".
4) a. champ lexical: "élevé", "je plane", abondance", "félicité", ravissement"
5) adjectif: ravi. Ligne 11 l'auteur utilise le terme "ravissement" ce qui justifie le choix de cet adjectif.
6) Elle sous-entend que les ambulanciers vont retrouver Albert mort comme l'explique la deuxième partie du texte.
8) Double chute parce qu'à la lecture de la 2e partie du texte, on réalise qu'Albert a subit un accident, il ne rêvait pas. Et à la fin du texte on apprend qu'en fait c'était un suicide: cite la ligne 31 à 33.
9) anticipation: "au bout du jardin je prendrai tout mon essor, et, de là, je m'élancerai..." (ligne 21) Le futur est utilisé alors que dans cette partie c'était le présent qui était employé
Ellipse: "quelque chose d'insolite, de jamais vu. Une sorte de Martien peut-être?" (ligne 34). Omission du verbe.
Retour en arrière: "jusqu'au dernier moment, l'homme avait cru rêver" (ligne 36-37).
Ils renforcent la surprise générale qui ils nous laissent supposer une fin à laquelle on ne serait pas attendu.
