Bonsoir j'ai vraiment besoin d'aide. 
Est ce que quelqu'un pourrait me corriger ce texte ( ou du moins m'aider). merci beaucoup d'avance.

Texte: 

Mise
en terre de la tante.


 
« Toutes mes condoléances »,  voilà les stupides mots qui sortaient sans
cesse de la bouche de des vauriens qui connaissaient sa tante depuis son
arrivée au cimetière.


 

La
fameuse heure arrivée, les personnes présentent s’avancer toutes vers la future
maison de la merveilleuse tante d’Anaée.

 


Une
maison qui paraissait si grande, pour accueillir le maigre corps de sa tante.

Cette
belle demeure qui était entièrement faite avec du bois de violette.


Et
à laquelle étaient ornée des dizaines de bourgeons colorés.


Exactement
comme ceux que sa tante passait son temps a cultivait.

  
Elle
devait la laissait s’envoler, comme un oiseau prend sa liberté, dans un monde
ou tous devenaient possible.

 


Les
regards que lui portaient les monstres ne faisaient que renforcer le nœud
qu’elle portait.

Ce
nœud qui depuis des semaines semblait être profondément tombé amoureux.


D’être
noué autour de son petit estomac, comme un serpent enroulait autour de sa
victime.

Son
estomac était noué et  son cœur lui,
saignait de douleur.



Comme
si on lui avait planté un couteau en plein cœur, et qu’il ne voulait plus sortir.


Trop
confortablement installé dans sa poitrine.

 


Le
plus dur allait bientôt passer, elle devait juste les ignorés.


Sagot :

Mise
en terre de la tante.


 « Toutes mes condoléances »,  voilà les stupides mots qui sortaient sans
cesse de la bouche de ces vauriens ne qui connaissaient la tante que depuis son
arrivée au cimetière.


A l'heure fatidique, toutes les personnes présentes s’avançaient vers la future
demeure de la merveilleuse tante Anaée.

Cette maison faite de bois de violette était magnifique,
des dizaines de bourgeons colorés l'ornaient, exactement les mêmes que ceux qu'elle cultivait constamment.

Mais cette maison paraissait cependant bien trop grande pour accueillir ce corps amaigri  de tante Anaée.

Elle devait prendre son envol pour le pays des anges, comme un oiseau sortant d'une cage qui prend sa liberté, le monde lui était totalement différent et grandiose de celui qu'elle avait connu, mais tout devenait enfin possible.

Les regards que lui portaient les monstres ne faisaient que renforcer le nœud qui engorgeait son estomac. Eh oui, depuis plusieurs semaines elle était tombé profondément amoureuse. Elle avait l'impression qu'un serpent s'enroulait autour d'elle.

Son estomac était noué oui, mais son cœur lui, saignait de douleur, comme s'il avait reçu un coup de couteau que l'on n'avait pas retiré parce-qu'il ne voulait plus en sortir parce-que trop confortablement installé dans sa poitrine.
Le plus difficile allait bientôt passer, elle devait seulement les ignorer.



Voilà ce que je propose, j'ai corrigé aussi la syntaxe et la ponctuation du texte mais peut être n'est-ce pas à faire ? Il y a un passage qui parle d'un "noeud" qui me semble étrange mais bon... 

Texte:
 Mise en terre de la tante.

 « Toutes mes condoléances »,  voilà les mots stupides qui sortaient sans
cesse de la bouche de ces vauriens qui connaissaient la tante depuis leur
arrivée au cimetière. 

La fameuse heure arrivée, toutes les personnes présentes s’avançaient vers la future
maison de la merveilleuse tante d’Anaée. Une maison qui paraissait si grande, pour accueillir le maigre corps de la tante. Cette belle demeure était entièrement faite avec du bois de violette, laquelle était ornée de dizaines de bourgeons colorés, exactement comme ceux que la tante passait le temps à cultiver. 
Elle devait la laisser s’envoler, comme un oiseau prend sa liberté, dans un monde ou tout devenait possible. Les regards que lui portaient les monstres ne faisaient que renforcer le nœud qu’elle portait. Ce nœud qui, depuis des semaines, semblait être profondément tombé amoureux d’être noué autour de son petit estomac, comme un serpent enroulé autour de sa victime. Son estomac était noué et son cœur, lui, saignait de douleur, comme si on lui avait planté un couteau en plein cœur, et qu’il ne voulait plus sortir, trop confortablement installé dans sa poitrine. 
Le plus dur allait bientôt passer, elle devait juste les ignorer.