Bonsoir, j'ai une rédaction à rendre pour demain matin et je ne comprend vraiment rien... Pouvez vous m'aider?

Longueur attendue: 2pages au moins ( recto, verso) ou 300 mots.
Un texte cohérent et structuré en paragraphes et correctement ponctué.
Sujet de pure réflexion: -On peut ne développer qu'un seul point de vue mais le sujet peut amener à développer une thèse et une antithèse.
- L'exemple doit être utilisé comme justification d'arguments m.
- l'introduction comporte: l'annonce du sujet et une prise de position claire.
- L'élève doit défendre les deux points de vue car le sujet est souvent beaucoup plus simple.
Voilà j'espère que vous pouvez m'aider, voici le texte

En argot les hommes appellent les oreilles des feuilles
c’est dire comme ils sentent que les arbres connaissent la musique
mais la langue verte des arbres est un argot bien plus ancien
Qui peut savoir ce qu’ils disent lorsqu’ils parlent des humains
les arbres parlent arbre
comme les enfants parlent enfant

Quand un enfant de femme et d’homme
adresse la parole à un arbre
l’arbre répond
l’enfant entend
Plus tard l’enfant
parle arboriculture
avec ses maitres et ses parents

Il n’entend plus la voix des arbres
il n’entend plus leur chanson dans le vent
pourtant parfois une petite fille
pousse un cri de détresse
dans un square de ciment armé
d’herbe morne et de terre souillée

Est-ce… oh… est-ce
la tristesse d’être abandonnée
qui me fait crier au secours
ou la crainte que vous m’oubliiez
arbre de ma jeunesse
ma jeunesse pour de vrai

Dans l’oasis du souvenir
une source vient de jaillir
est-ce pour me faire pleurer
J’étais si heureuse dans la foule
la foule verte de la forêt
avec la crainte de me perdre
et la crainte de me retrouver

N’oubliez pas votre petite amie
arbres de ma forêt.

Jacques Prévert, Arbres I, recueil Histoires.
L’illustration choisie est une photo de Prévert par Izis.

Salutation Matteo


Sagot :

LE SANAGA 

 

je me souviens du Sanaga.J'avais alors 15 ans, nous passions nos vacances sur l'ile de Groix, nous avions appris par la radio qu'en mars,un bateau le sanaga s'était  échoué sur l'ile près de locmaria.

Nous avions une maison dans ce village et nous avions hâte d'aller voir le bateau.

 

 

Arrivés sur Groix nous sommes allés dès le premier jour de vacances le  voir ;

Il était sur la plage, la marée était basse.Pour y accéder, nous devions longer le chemin côtier très escarpé, j'avais peur pour mon frère plus petit que moi mais aussi pour moi-même.

Mais il fallait y aller c'était une belle aventure; je me faisais penser à un pirate allant prendre possession du Sanaga, car c'est ce que nous voulions, entrer dedans.

 

Les herbes du chemin côtier n'avait pas été coupées et elles nous fouettaient les jambes au fur et à mesure que nous avançions, le vent toujours présent faisait voler nos cheveux, et de lourds 

nuages annonçaient de la pluie.La mer toujours basse était remuante et de hautes vagues semblaient nous menacer: ne venez pas , c'est interdit.

jE voyais au loin le phare des chats, qui n'était pas encore allumé.

 

Enfin, nous arrivions devant la plage,le Sanaga était là magnifique sur les galets, mais tombé sur le côté, en souffrance.

Personne à côté , nous avons couru vers lui ;un découpage avait été fait sur la coque assez grand pour que nous puissions y entrer; nous avons tout visité, avec une grande joie.

Je montais sur le devant du bateau , et tel un capitaine, je regardais la mer, la lande , les maisons au loin.

Mais la marrée montait il nous fallait partir car le trou dans la coque allait être rempli d'eau,et la sortie aurait été impossible.Nnous partîmes, heureux, remplis de souvenirs  jamais oubliés.

 

 

Maintenant le Sanaga n'existe plus, il a été découpé, quel dommage, plus personne, plus d'enfants comme nous, pourrons le visiter, il ne reste plus que des photos des souvenirs et quelques  déchets oubliés sur la plage.

 

 

 

c'est se que le mec ma ecrit sa