Bonsoir.

 

Voilà, c'est pour demain, et il faut faire des exercices sur le subjonctif, les voicis:

 

1° Je suis prêt à admettre, tu vois, qu'il est licite de tailler des cailloux, car c'est rester dans les voies de la nature. Pourvu, toutefois, qu'on ne se mette pas à en dépendre trop: la pierre taillée pour l'homme, et l'homme pour la pierre taillée ! Et qu'on ne veuille pas non plus les affiner plus qu'il n'est nécessaire.

a) Indiquez le temps des deux verbes au subjonctifs relevés dans le texte.

b) Indiquez la forme correspondante à l'indicatif présent.

c) Indiquez leur valeur.

 

J'ai donc relevé les verbes au subjonctif: "se mette", qui est au présent du subjonctif, et qui devient "il met" au présent de l'indicatif. Et "qu'on ne veuille", au présent du subjonctif, qui devient "il veut" au présent de l'indicatif.

Mais pour le petit c, je n'y arrive pas, pourriez vous m'aider ?

 

 

Et cet autre exercice:

2° Compétez les phrases suivantes en choisissant le présent de l'indicatif ou le subjonctif et identifiez la nature des prépositions subordonnées dans lesquelles se trouvent les verbes au subjonctif.

Donc j'ai déjà complété les phrases, mais je ne parviens pas à faire le reste.

 

Je pense qu'il est malade, mais je ne crois pas qu'il soit à l'hôpital.

Je suis sûre que tu vas bien, mais je crains que tu ne puisses pas venir.

Il s'imagine que je vis de mes rentes !

Il importe qu'il as ses affaires au complet.

J'ai interdit qu'on franchisse la porte de mon bureau.

Nous savons que les temps sont difficiles.

 

S'il vous plait, ne répondez pas si vous n'avez pas de réponses complètes à me fournir, merci !!



Sagot :

1° Je suis prêt à admettre, tu vois, qu'il est licite de tailler des cailloux, car c'est rester dans les voies de la nature. Pourvu, toutefois, qu'on ne se mette pas à en dépendre trop: la pierre taillée pour l'homme, et l'homme pour la pierre taillée ! Et qu'on ne veuille pas non plus les affiner plus qu'il n'est nécessaire.

 

a) Indiquez le temps des deux verbes au subjonctifs relevés dans le texte.

Mette et veuille : subjonctif présent 

 

b) Indiquez la forme correspondante à l'indicatif présent.

On met et on veut

 

c) Indiquez leur valeur.

« Pourvu que » est une locution conjonctive qui entraîne le subjonctif

Qu’on ne veuille pas en fat doit se lire « pourvu » qu’on ne veuille pas

Le subjonctif est un  mode que l'on emploie essentiellement dans les propositions subordonnées. Le plus souvent, son emploi n'est pas libre : il est commandé par le verbe de la principale ou la locution qui introduit la subordonnée.

 

Et cet autre exercice:

2° Compétez les phrases suivantes en choisissant le présent de l'indicatif ou le subjonctif et identifiez la nature des prépositions subordonnées dans lesquelles se trouvent les verbes au subjonctif.

 

Je pense qu'il est malade, mais je ne crois pas qu'il soit à l'hôpital.

Les conjonctives pures : elles sont introduites par je pense que et je ne crois pas. Cependant, Je pense que à exprime une idée de certitude et es donc suivi d’une préposition subordonnée à l’indicatif alors que je ne crois pas exprime une incertitude et la préposition est conjugué au subjonctif.  

Je suis sûre que tu vas bien, mais je crains que tu ne puisses pas venir.

Les conjonctives pures : elles sont introduites par je suis sûre que et je crains. Cependant, Je suis sûre que  exprime une idée de certitude et est donc suivi  d’une préposition subordonnée à l’indicatif alors que je ne crains est un verbe qui entraine systématiquement un subjonctif dans la subordonnée.  

Il s'imagine que je vis de mes rentes !

Il s’imagine que entraîne une certitude de la part du sujet « il » et donc la subordonnée est conjugué à l’indicatif

 

Il importe qu'il ait ses affaires au complet.   (Les verbes ou locution verbale avec « importer » entraîne systématiquement le subjonctif)

 

J'ai interdit qu'on franchisse la porte de mon bureau.

Les verbes ou locution verbale avec « interdire» entraîne systématiquement le subjonctif

 

Nous savons que les temps sont difficiles.

« savoir » entraîne une certitude et donc la subordonnée est à l’indicatif