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j'ai commencer un devoir de francais : Support : Lettres 1 à 11 d’Inconnu à cette adresse. Sujet : Suite à la lettre 11, Max reçoit une missive de sa sœur. Griselle lui expliquera, dans un premier temps, ce qui s’est véritablement passé à Berlin et pourquoi elle s’est faite conspuer au théâtre. Elle insistera sur ce qu’elle a ressenti en mêlant si possible des considérations sur la politique menée par Hitler et ses effets dans la ville. Elle développera, ensuite, le périple fait de danger et de contrôles à contourner qu’elle a parcouru pour rejoindre Munich. Enfin, dans un dernier paragraphe, elle rassurera son frère et exprimera l’espoir qu’elle place en Martin, sa sachant proche désormais du château Rantzenburg. Elle ne manquera pas, dans cette lettre, d’exprimer sa révolte, sa colère face aux réactions des Allemands, sa peur également et la confiance investie en son ancien amant pour lequel elle a gardé « une infinie tendresse ». voila ce j'ai fait (c'est pas fini) : Mon très cher Max, Si tu pouvais savoir à quelle point j’ai envie d’être avec toi et de quitté cette misère. J’ai voulu aller à Vienne puis à Munich car je ne me sentais pas en sécurité de plus Martin me manque et il pourrait peut-être m’aider à échapper aux SA. Je suis pose qu’il t’a dit que je m’étais faite conspuée à Berlin alors que je jouais dans la pièce Berlinoise. Quelle honte j’ai eu ! Un spectateur s’est levé et à crier : « c’est une juive, c’est une juive ! Elle n’a rien à faire ici ! Que font les SA ! ». Je ne savais plus où me mettre. Je ne comprenais pas ce qui se passait. J’ignore comment il a su que j’étais juive alors que je portais une perruque et une longue robe satiné, on ne voyait presque pas mon visage. Le metteur en scène, qui lui savait depuis toujours que j’étais juive, avait ses mains sur sa tête comme s’il était épouvanté, c’est vrai que la furie de certains spectateurs était effrayante. Oh Max, tu ne peux pas imaginer à quel point j’étais terrorisée et paralysée alors que je me protégeais des projectiles qu’ils me lançaient. J’étais prise de vertige, je ne voyais plus que des visages haineux tourner autour de moi qui criaient dans la lumière aveuglante des projecteurs. Le metteur en scène est venu me chercher après quelques minutes qui m’ont paru des heures. M’arrachant à la scène, il m’aida à m’enfuir et me cacha chez lui. Par la suite, je sus que les SA avaient fait irruption dans la salle juste après mon départ et avaient fouillé de fond en comble le théâtre pour me trouver. Dite moi ce que vous enpensez et des remarques s'il vous plait et peut etre m'aider dans la suite pour ceux qui l'ont lu (le livre) merci beaucoup :)

Sagot :

Alors, j'aime bien, mais " Je suis pose " Tu ne voulais pas dire : " je suppose "? 

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