Jai du mal à trouver les ponits de vue du narrateur dans ces trois morceaux de textes, pouvait vous m'aidez svp ?


1-Ce jeune homme, ce n'était ni un poète, ni un peintre ni un musicien : c'était un composé de tout cela ; c'était la peinture, la musique et la poésie réunies ; c'était un tout bizarre, fantasque, bon et mauvais, brave et timide, actif et paresseux : ce jeune homme, enfin, c'était Ernest-Théodore-Guillaume Hoffmann. 
2- Elle descendit au salon. Il était sombre, derrière ses volets fermés et elle fut quelque temps avant d’y rien distinguer, puis, son regard s’habituant à l’obscurité, elle reconnut peu à peu les hautes tapisseries où se promenaient des oiseaux. Deux fauteuils étaient restés devant la cheminée comme si on venait de les quitter. 
3-Et le fiacre n’eut qu’à tourner, la maison se 
trouvait la seconde, une grande maison de quatre 
étages, dont la pierre gardait une pâleur à peine 
roussie, au milieu du plâtre rouillé des vieilles 
façades voisines.


Ah oui, aussi pouvez vous me dire les valeurs du present dans ces phhrases svp ? Ca serait trop gentil :D ! 

 

- Qui veut voyager loin, ménage sa monture

- J'arrive à temps pour t'empêcher de glisser

- Tous les matins du monde sont sans retour.

- Sous moi donc cette troupe s'avance

  Et portesur le front un mâle assurance

  Nous partîmescinq cents; mais par un prompt renfort 

  Nous nous vîmes trois mille en arrivant au port.

- Les femmes d'un certain état s'imaginent en avoir plus de dignité, quand elles ont un joli visage; elles regardent cet avantage-là comme un rang.

- "Allons donc plus vite, mon père, disait la jeune fille avec un air de lutinerie en entrainant le vieillard. J'entends les tambours."

- Auguste et madame Nucingen se retournent. Madame Jules arrivait vêtue de blanc. 

- Le voyez-vous comme il vole ou à la victoire ou à la mort ? 

 

Merciiiiiiiiiiii !!!! :D