Sagot :
Jean valjean était parti se coucher. ¨L'évêque assis près du feu réfléchisssait , en se chauffant les mains.
Madame Magloire entra dans la salle , silencieusement.Le repas avait été débarrassé elle voulait parler à l 'évêque.Elle qui comme Mademoiselle Baptistine était de nature obéissante comme nous le savons, avait décidé de dire ce qu'il pensait de l'accueil de ce forçat dans la maison de l'évêque.
Monseigneur dit-elle ,je souhaiterai m'entretenir avec vous.
L'évêque : je vous écoute,Madame Magloire
Madame Magloire: vous savez qu'un rodeur de mauvaise mine est en ville. n'avez vous pas
pensé que l'homme que vous avez accueilli puisse être , cet individu- là?N'avez vous pas pensé qu'il puisse nous faire du mal à nous les femmes et à vous- même?
Et même s'il n'était pas le rodeur, un forçat, Monseigneur , un forçat ! ! ! !
l'ëvêque: si, ce pourrait être lui mais il ne fera rien
Madame Magloire: mais enfin , Monseigneur, son visage, sale , son corps hideux.comment avez- vous pu inviter un tel individu.Il n'a pas du tout dire il est peut être aussi un meurtrier.
Ce n'est pas bien , ce n'est pas bien, je sens le danger , il est là, tout près.
Lévêque regarda Madame Magloire il sentait bien que la peur, la tension montait en elle , il se devait de la rassurer.
l'ëvêque: n'avez-vous vu que son aspect physique, n'avez vous vu son regard étonné d'être
accueilli , n'avez-vous ressenti la joie d'un homme qui pour une fois en 19 ans , n'est pas
regardé comme un moins que rien?Je vous en prie , ne vous inquiétez pas .Maintenant Dieu a pris Jean Valjean dans ses bras et il ne le lachera pas , allez, partez vous coucher,soyez tranquiliser, ayez confiance , bonsoir Madame Magloire.
Madame Magloire quitta la salle, elle avait dit ce qu'elle avait dire , bien qu'elle savait que cela n'avait pas servi à grand chose.
Voilà, j'espère que cela te plaira.