Sagot :
Le lecteur pris à parti par un poète tribain
Je lis le poème et je vois que nous sommes pris à partie car l’auteur nous pose une question dès la première ligne :
Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ? je pense qu’il veut nous inclure dans ses pensées
L'enfant victime par des machines monstrueusesJe pense que l’on peut chercher dans le poème tout ce qui se rapporte avec ses machines monstrueuses : c’est- machine sombre, Monstre hideux ,
Pour l’enfant victime : on voit :un champs lexical en rapport avec la mort : avec : l'ombre, enfer , , :ange, bagne , pale, maudit, blasphèmes, étouffant, , cendres,tue
II. Une dénonciation qui fait de la poésie une arme
Une diatrique particulièrement virulente
Je ne sais pas ce que c’est qu’une diatrique, j’ai donc regardé dans le dico mais ce n’est pas écrit , donc je ne peux pas répondre à la question
Mais une poésie une arme : je dirais effectivement il se sert de la poésie pour dire ce qu’il pense du travail des enfants. Ils utilisent même les rimes , puisque l’on voit que c’est une poésie avec des rimes suivies(it, it, eules eules , ment ,ment bres,bres)A l’heure actuelle les chanteurs se servent aussi de leurs chansons pour dire ce qu’ils pensent .
B. Vers la définition d'un travail avilissant et la louange d'un travail enonciateur
Voici pour moi les 2 vers qui parlent du travail heureux,
Il y a que 2 vers qui énoncent un bon travail, mais le poème n’était pas basé sur cela
Tous ces adjectifs sont donc en opposition avec les autres adjectifs du poème :
Je vois que les vers ci-joint : qui rend l’homme heureux,
Il veut certainement dire oui, le travail est pour l’homme pas pour l’enfant de 8ans.
Et là le travail peut rendre heureux.
LES 2 VERS :
Au nom du vrai travail, sain, fécond, généreux,
Qui fait le peuple libre et qui rend l'homme heureux !