Doc 2 : La découverte de Tenochtitlan
En arrivant à la grande place, nous tombâmes
en admiration devant l’immense quantité de
monde et de marchandises qui s’y trouvait, non
moins qu’à l’aspect de l’ordre et de la
réglementation qu’on l’on observait en toutes
choses.
Commençons par les marchands d’or, d’argent,
de pierres précieuses, de plumes, d’étoffes, de
broderies et autres produits. Puis les esclaves,
hommes et femmes, dont il y avait une telle
quantité à vendre qu’on les pouvait comparer à
ceux que les Portugais amènent d’Afrique.
D’autres marchands se trouvaient là, vendant
des étoffes ordinaires en coton. On y voyait
aussi des marchands de cacao et de poteries
de tous genres.
Qu’est-ce qui rend l’auteur si admiratif ? Quels sont les produits qui retiennent son attention ?
Doc3 : Moctezuma s’adresse à Cortès
Illustre capitaine Cortès, quelques uns nous ont
assuré que vous étiez des dieux, que des
bêtes farouches vous obéissaient, que vous
teniez la foudre entre vos mains et que vous
étiez assoiffés d’or.
Cependant je reconnais que vous êtes des
hommes comme nous. Ces bêtes sont à mon
avis des cerfs que vous avez apprivoisés et
ces armes sont des tuyaux de métal que nous ne connaissons pas.
Pourquoi les Indiens craignent-ils les Espagnols ?
Je na comprends pas ces question: merci d'avance
En arrivant à la grande place, nous tombâmes
en admiration devant l’immense quantité de
monde et de marchandises qui s’y trouvait, non
moins qu’à l’aspect de l’ordre et de la
réglementation qu’on l’on observait en toutes
choses.
Commençons par les marchands d’or, d’argent,
de pierres précieuses, de plumes, d’étoffes, de
broderies et autres produits. Puis les esclaves,
hommes et femmes, dont il y avait une telle
quantité à vendre qu’on les pouvait comparer à
ceux que les Portugais amènent d’Afrique.
D’autres marchands se trouvaient là, vendant
des étoffes ordinaires en coton. On y voyait
aussi des marchands de cacao et de poteries
Illustre capitaine Cortès, quelques uns nous ont
assuré que vous étiez des dieux, que des
bêtes farouches vous obéissaient, que vous
teniez la foudre entre vos mains et que vous
étiez assoiffés d’or.
Cependant je reconnais que vous êtes des
hommes comme nous. Ces bêtes sont à mon
avis des cerfs que vous avez apprivoisés et
ces armes sont des tuyaux de métal que nous ne connaissons pas.