4. Mettez les verbes aux temps du passé qui conviennent. Nous (vivre) ainsi, mon perroquet et moi, dans la plus austère solitude, lorsqu'un matin il m'(arriver) une chose vraiment extraordinaire. Ce jour-là, j'(quitter) ma cabane de bonne heure et je (faire), armé jusqu'aux dents, un voyage d'exploration à travers mon île... Tout à coup, je (voir) venir de mon côté un groupe de trois ou quatre personnes, qui (parler) à voix très haute et (gesticuler) vivement. Juste Dieu ! des hommes dans mon île ! Je n'(avoir) que le temps de me jeter derrière un bouquet de lauriers-rose et à plat ventre, s'il vous plaît... Les hommes (passer) près de moi sans me voir... Je (croire) distinguer la voix du concierge Colombe, ce qui me (rassurer) un peu mais, c'est égal ! dès qu'ils (être) loin je (sortir) de ma cachette et je les (suivre) à distance pour voir ce que tout cela deviendrait... suure) a Ces étrangers (rester) longtemps dans mon île... Ils la (visiter) d'un bout à l'autre dans tous ses détails. Je les (voir) entrer dans mes grottes et sonder avec leurs cannes la profondeur de mes océans. De temps en temps ils s' (s'arrêter) et (remuer) la tête. (...) Au bout d'une demi-heure, les hommes (se retirer) se sans se douter seulement que l'île (être) habitée. Dès qu'ils furent partis, je (courir) m'enfermer dans une de mes cabanes, et (passer) là le reste du jour à me demander quels (être) ces hommes et ce qu'ils (venir) faire. J'(aller) le savoir bientôt.​