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Une farouche résolution de redresser le monde et de le déposer aux pieds de ma mère, heureux,
juste, digne d'elle, enfin me mordit au coeur d'une brûlure dont mon sang charria le feu jusqu'à la
fin. Le visage enfoui dans mes bras, je me laissai aller à ma peine, mais les larmes, qui me furent
si clémentes, ne m'apportèrent cette fois aucune consolation.
Romain Gary, La Promesse de l'aube, Gallimard, 1960.
b. Soulignez d'un trait les adjectifs. c. Soulignez de deux traits les verbes.
d. Relevez dans la dernière phrase les mots invariables et indiquez leur classe grammaticale respective.

Sagot :

Réponse :

BONJOUR ...c'est plus sympa avec de la  politesse ;)

Explications :

- soulignés : les adjectifs

- en gras : les verbes

Une farouche résolution de redresser le monde et de le déposer aux pieds de ma mère, heureux, juste, digne d'elle, enfin me mordit au cœur d'une brûlure dont mon sang charria le feu jusqu'à la fin. Le visage enfoui dans mes bras, je me laissai aller à ma peine, mais les larmes, qui me furent si clémentes, ne m'apportèrent cette fois aucune consolation.

c) les mots invariables:

Le visage enfoui dans (préposition) mes bras, je me laissai aller à (préposition) ma peine, mais (conjonction de coordination) les larmes, qui(pronom relatif)  me furent si (conjonction) clémentes, ne (adverbe de négation) m'apportèrent cette fois aucune consolation.

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