Sagot :
Bonjour,
le comte:
le comte ( soupesa, sauta)
l'homme ( hésitait)
le sanglier:
l'animal ( fit mine)
suidé
la bête ( tournait, savait )
le sanglier ( tournait, l'attendait)
le cheval:
le cheval ( avancer)
l'étalon
le destrier
Réponse :
Le comte soupesa l'épieu dans sa main, sortit la dague de son fourreau, la serra entre ses dents. Le sanglier vit le cheval avancer de quelques pas sur la gauche ; il baissa la tête, émit un grognement rauque. Le duel était engagé. L'animal fit soudain mine de s'enfuir par la droite mais, d'une virevolte, se rua sur l'étalon. Un coup de défense de bas en haut ! Une seconde trop tôt ! Le destrier fit un écart, se cabra. Fffssiiit ! L'épieu vola, se ficha dans le dos du suidé. Mal. La pique s'arracha comme la bête tournait sur elle-même en poussant des gémissements aigus. Le comte sauta à terre, le poignard à la main. Le sanglier l'attendait, couché sur le flanc, haletant, l'étudiant de ses petits yeux brillants et froids. L'homme hésitait, cherchant la faille, guettant la seconde d'inattention qui permettrait de porter le coup fatal. La bête savait qu'elle allait mourir. Mais pas sans combattre.
Le comte : l'homme
Le sanglier : l'animal, la bête, le suidé
Le cheval : l'étalon, le destrier