Activité 2: La guerre des tranchées (Verdan: Février-décembre 1916) Comment la bataille de Verden reflète t-elle la violence exirme de la Première Guerre La belle de Verdun vue par un Adland Le Koning the onde eu silda Van U Tourage fut soumis à la censure Verdun ou printemps 1976 He part qu'en 1919 L'attende dans le tranchée allemande Hillbrand et accroups dans son abe] se trouvent pas le sommeil. Lorsquun rat lui saute sur la poine à sortit de son trou, et als Mentement le long de la tran chée de sentinelle en sentinelle les étaient immobiles, les yeux vers fennems la neige tombait moins dense 1 s'enfonçait dans la boue jusqu'au-dessus des mellets Travaillant des coudes contre le talus, il se souleva et monta sur la première marche du parapet. Des chiens aboyaient en face. Après quelques mots brets, des balles sifflerent au-dessus de sa tête.. Les combats dans les tranchées françaises trième, et posa s Les taillis étaient déchiquetés, les ramures flambaient. Wemer se glissait de trou à trou, à tâtons [] Il prit un fusil, le chargea, puis un second un troisième, un qua- tête contre les crosses, regardant intensément vers les fils de fer barbe- lés. Des fusées montèrent ... T'ennemi apparut, bleu, au-dessus de la tranchée. D'une main calme, (ill manoeuvrait une mitrailleuse, et la trajectoire balayait les rangs de têtes ennemies. L'une après l'autre, elles s'effondraient. Kox fit sauter sa mine. Des membres volèrent, arrachés, au-dessus de la compagnie. [...] Un voile de vapeur blanche, comme une muraille de fantômes, venait lentement vers lui. [...] Il cria: "Mettez les masques.". Fritz Von Unruh, Verdun, Éditions du Sagittaire, 1923, D.R. La cale de Vedas vue par un hançais Ma chère lemme Tu ne peux pas imaginer le paysage qui nous em ne, plus aucune vigation, ni même une naine un moignon de tronc d'arbre se dresse tra gement sur le sol criblé par des milliers et des milliers de tous d'obus qui se touchent. Plus de tranchées ni de boyaux pour se repber (...) Entre nous et les Allemands, pas de réseaux de barbelés. tout est pulvérisé au fur et à mesure de la canon- nade. Mais plus active que le bombardement, pire que le manque de ravitaillement, c'est l'odeur qui traine, lourde et pestilentielle, qui te serre les tripes, te soulève le coeur, t'empêche de manger et même de boire. Nous vivons sur un immense chamier où seuls d'immondes mouches gorgées de sang et de gros rats luisants de graisse ont l'air de se complaire tout est empuanti par les cadavres en décompo sition, les déchets humains de toutes sortes, les poussières des explosifs et les nappes de gaz.» Lettre du poilu Eugène Bouin, écrite en mai 1916. Doc 4: les mutineries de 1917 Au lieu de partir au repos comme nous le pensions, nous devons remonter au front pour attaquer cette nuit, nous sommes épuisés, déprimés, notre moral est au plus bas. Des petits groupes se forment et certains émettent l'idée de désobéir c'est à dire de refuser de monter au front. D'après le journal d'Henri Charbonnier avril 1916 Exercice: à l'aide des documents ci-contre et de la vidéo, rédigez un développement construit pour expliquer en quoi la bataille de Verdun est un exemple de violence extrême des combats. Pour cela je suis le plan ci-dessous. Paragraphe 1: rédigez une ou deux phrases pour présentez la bataille: où? Quand? Qui oppose t-elle? Paragraphe 2: décrivez la violence des combats (les armes utilisées), les souffrances et les conditions de vie difficiles des poilus dans les tranchées. Paragraphe 3: rédigez une ou deux phrases pour présenter le bilan humain de cette bataille et le moral des soldats​

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Sagot :

Bonjour,

Voici des éléments qui pourraient t'aider à rédiger ton devoir.

Bonjour,

La bataille de Verdun illustre les horreurs de la guerre moderne : tous les moyens disponibles apportés par les progrès techniques sont mis en oeuvre pour détruire le maximum d'ennemis.

Verdun est la clé du système défensif de la France sur le nord - est du pays.

( Prendre les positions de Verdun permettrait aux Allemands de foncer vers Paris et de gagner la guerre, les Français vont consentir tous les sacrifices pour les en empêcher ).

Entre février et décembre 1916, plusieurs millions de soldats allemands et français vont se succéder pour la possession de quelques dizaines de kilomètres carrés de territoires.

C'est une guerre de positions entrecoupée d'offensives sanglantes, les conditions de vie des soldats y sont effroyables.

Ils passent la plus grande partie de leur temps cachés dans les tranchées pour se mettre à l'abri et ils surveillent les Allemands qui sont parfois très proches, ils vivent au milieu des cadavres de soldats et d'animaux, ils chassent les rats qui courent dans la boue, ils subissent le gel, les pluies ou la canicule….

Puis se sont les bombardements qui durent des jours et des nuits sans interruption, des millions d'obus labourent le sol, il n'y a plus d'animaux, plus d'arbres ni de mauvaises herbes, certains hommes perdent la raison, les attaques ennemies se terminent dans des corps à corps à la baïonnette ou à coups de pelles…

Ensuite viennent les assauts, au coup de sifflet il faut sortir des tranchées, courir entre les barbelés et tenter d'atteindre les lignes ennemies où l’on est accueilli avec les mitrailleuses qui tirent 10 balles par seconde et fauchent les hommes au milieu des explosions d'obus.

Parfois, un avion vient mitrailler les tranchées ou lâcher une bombe. Il faut encore subir les attaques aux gaz asphyxiants durant lesquelles les hommes meurent dans d'horribles souffrances, supporter le masque à gaz qui étouffe à demi, voir ses compagnons mourir les uns après les autres ou perdre la raison….

Cette bataille sanglante, la plus terrible de la première guerre mondiale, fera près de 1 000 000 de morts, blessés et disparus cependant, fin de l'année, chacun se retrouvera quasi sur ses positions de départ.

J'espère avoir pu t'aider.