Salut, j'ai écrit ce texte et il faudrait le corriger au passé simple et l'imparfait de l'indicatif et corriger les fautes d'orthographe si possible (comme le texte est long je mets le maximum de point possible) merci beaucoup

La scène suivante ce passe après que Camille et Salim aient laisser Mathieu au café.
-Attend moi ma vieille tu sais bien que les mollusques ne courent pas vites.
Dit Salim pour détendre l’atmosphère, mal grès le fait que Camille essai de le cacher il savait qu’elle est dessus de cet rencontre avec son frère.
-Salim nous allons faire un pas sur le coté, nous avons plus rien à faire ici.
Annonça elle d’un ton sérieux. Alors Salim acquiesça et Camille pris la main de celui- ci avant de s’imaginer l’auberge où elle avait le plus de souvenir. Mais avant d’avoir terminer Salim lança :
-Surtout ne nous envoie pas perdu dans la forêt pleine de ts’liches ce serait bête non.
Avant que Camille ai le temps de répondre il commença à ricana il en ce souvenant de quand ils étaient rentré de leur premier pas sur le coté en arrivant dans un étant.
Mais après quelques seconde Camille ouvrit les yeux et quelque chose d’inattendu c’était passé : elle est bien arriver à faire le pas sur le coté mais Salim n’était pas devant elle.
-Salim ? Où est tu passé ? Ce n’est pas drôle où est tu ?
Malgrès plusieurs appelle elle ce rendit à l’évidence : elle était seule et ne savais pas si Salim était dans le même monde qu’elle ou si il était rester dans l’autre monde. Mais à peine avait elle eu le temps de réfléchir qu’une bête énorme de au moins 10 mètres de long se dressa devant elle, cette énorme bête avait la forme d’un mille patte mais avec des dents comme un serpent sans doute empoisonné et des piques acérez se dressait sur son dos en trois rangée différente. L’animal chargea Camille sans réfléchir, elle esquiva de justesse en se lançant sur le coté, malgré toute les options disponible camille ne pus en choisir une, elle pourrait monter sur les arbres pour esquiver le monstre mais elle ne sais pas comment faire cela lui prendrais trop de temps le mille patte aurais le temps de la tuée au moins une dizaine de fois, elle pourrait aussi courir le plus vite possible dans la forêt mais elle pourrait tomber sur une autre créatures et de plus elle était sur que ce mille patte était plus rapide qu’elle, elle pourrait aussi refaire un pas sur le coté mais le temps de visualiser l’endroit où elle veut aller elle serait déjà morte. Alors elle commença à imaginer des grilles de pics pour que ceux ci transperce la bête mais alors que celle ci se matérialisa la créature eu le temps d’esquiver : Camille avait raison elle était affreusement rapide pour ça taille. Elle finit par ce dire que si quelqu’un ne venait pas la sauvée elle était morte, et la elle eu un éclaire de génie : elle était seule si elle voulait battre le mille patte elle devrait employer de l’aide, des golem d’acier ou de pierre serait parfait elle pourrait les dessiner aisément mais cela lui prendra un minimum de temps alors d’abord elle dessina une grande lumière que aveuglât la bête quelque minute, c’était le moment elle imagina 5 golem en acier grand de 3 mètres et quand la bête finit par reprendre ses esprit elle fut cerner par les Golem qui le força à fuir une fois qu’il fut bien amocher. Camille était enfin saine et sauf mais elle repensa à Salim et par réflexe elle mis la main dans sa poche et sentit une boule de fourrure : le chuchoteur était là dans sa poche et grimpa dans sa main. Elle commença alors à entendre la vois de Salim lui dire :
-Camille je suis arriver à l’auberge mais je ne te vois alors je voulait te dire que si tu voulais te débarrasser de moi il fallait le dire ma vieille.
Dit il d’un ton amusé et moqueur.
-plus sérieusement je vais bien mais je ne te vois pas alors nous sommes partit à ta recherche, nous avons ta localisation grace au trace de dessin que tu as laissé en passant de l’autre coté nous serons la dans peu de temps.
La vois finit par ne plus parler et Camille elle s’assit près d’un arbre en caressant le chuchoteur qui finit par ronronner et elle finit par s’endormir en attendant ses compagnons.

Sagot :

Bonjour

La scène suivante se passait après que Camille et Salim eurent laissé Mathieu au café.

-"Attends moi ma vieille, tu sais bien que les mollusques ne courent pas vite" dit Salim pour détendre l’atmosphère, malgré le fait que Camille essaya de le cacher, il savait qu’elle était dessus de cette rencontre avec son frère.

-"Salim, nous allons faire un pas sur le coté, nous n'avons plus rien à faire ici" annonça-t-elle d’un ton sérieux. Alors Salim acquiesça et Camille prit la main de celui-ci avant de s’imaginer l’auberge où elle avait le plus de souvenirs. Mais avant d’avoir terminer Salim lança :

-"Surtout ne nous envoie pas perdus dans la forêt pleine de ts’liches ce serait bête non ?"

Avant que Camille n'eut le temps de répondre il commença à ricaner, en se souvenant de quand ils étaient rentrés de leur premier pas sur le coté en arrivant dans un étang.

Mais après quelques seconde, Camille ouvrit les yeux et quelque chose d’inattendu se passa : elle était bien arrivée à faire le pas sur le coté mais Salim n’était pas devant elle.

-"Salim ? Où est tu passé ? Ce n’est pas drôle où es tu" ?

Malgré plusieurs appels elle se rendit à l’évidence : elle était seule et ne savait pas si Salim était dans le même monde qu’elle, ou s'il était resté dans l’autre monde. Mais à peine avait-elle eu le temps de réfléchir, qu’une bête énorme d'au moins dix mètres de long se dressa devant elle, cette énorme bête avait la forme d’un mille-pattes mais avec des dents comme un serpent sans doute empoisonné et des pics acérés se dressaient sur son dos en trois rangées différentes. L’animal chargea Camille sans réfléchir, elle esquiva de justesse en se lançant sur le coté, malgré toutes les options disponibles, Camille ne put en choisir une, elle aurait pu monter dans les arbres pour esquiver le monstre mais elle ne savait pas grimper et cela lui aurait pris trop de temps, le mille-pattes aurait eu le temps de la tuer au moins une dizaine de fois, elle aurait aussi pu courir le plus vite possible dans la forêt mais au risque de tomber sur une autre créature, et de plus elle était sûre que ce mille-pattes était plus rapide qu’elle, elle aurait aussi pu refaire un pas sur le coté mais le temps de visualiser l’endroit où elle voulait aller, elle aurait été déjà morte. Alors elle commença à imaginer des grilles de pics pour que ceux-ci transpercent la bête mais alors que celles-ci se matérialisèrent, la créature eut le temps de s’esquiver : Camille avait raison elle était affreusement rapide pour sa taille. Elle finit par se dire que si quelqu’un ne venait pas la sauver elle mourrait, et là, elle eut un éclair de génie : elle était seule et si elle voulait battre le mille-pattes elle devait employer de l’aide, des golems d’acier ou de pierre seraient parfaits ; elle aurait pu les dessiner aisément mais cela lui aurait pris un minimum de temps alors d’abord elle dessina une grande lumière qui aveuglât la bête quelques minutes, c’était le moment où elle imaginait cinq golems en acier grands de trois mètres et quand la bête finit par reprendre ses esprits, elle fut cernée par les Golems qui la forcèrent à fuir une fois qu’il fut bien amoché. Camille était enfin saine et sauve, mais elle repensait à Salim et par réflexe elle mit la main dans sa poche et sentit une boule de fourrure : le chuchoteur était là dans sa poche et grimpa dans sa main. Elle commença alors à entendre la voix de Salim lui dire :

-"Camille je suis arrivé à l’auberge mais je ne te vois pas, alors je voulais te dire que si tu voulais te débarrasser de moi, il fallait me le dire ma vieille", disait-il d’un ton amusé et moqueur. "Plus sérieusement, je vais bien mais je ne te vois pas alors nous sommes partis à ta recherche, nous avons ta localisation grâce au tracé de dessin que tu as laissé en passant de l’autre coté, nous serons là dans peu de temps".

La voix finit par ne plus parler et Camille elle s’assit près d’un arbre en caressant le chuchoteur qui finit par ronronner et elle finit par s’endormir en attendant ses compagnons.