Réponse :
Les sanglots longs
Des violons
De l’automne
Blessent mon coeur
D’une langueur
Monotone.
O maison de mon père où j’ai filé la laine,
Où, les longs soirs d’hiver, assise au coin du feu,
J’écoutais les chansons de la vieille Lorraine,
Le temps est arrivé que je vous dise adieu.
Explications :
Les sanglots longs des violons de l’automne blessent mon cœur d’une langueur monotone.
O maison de mon père ou j’ai filé la laine, ou les longs soirs d’hiver, assise au coin du feu, j’écoutais les chansons de la vieille Lorraine, le temps est arrivé que je vous dise adieu.