Sagot :
Bonjour à toi ! Désolé si je ne t'aide que maintenant.
"Alors que je dormais paisiblement en pleine nuit lors d’un merveilleux rêve, je fus interrompu par un bruit sourd provenant du salon. Je pensais que c’était sûrement un objet qui avait glissée puis tombé par la suite, une simple coïncidence. Quelques secondes après avoir fermé les yeux, je les rouvris immédiatement alors que le même bruit venait tout juste de revenir mais plus fort. Tremblant comme une feuille, je décide alors de prendre mon courage à deux mains et de quitter mon lit douillé. Il pleuvait dehors, et quelques coups de tonnerre ne manquèrent pas à retentir ; j’ouvris alors doucement la porte de ma chambre et commençai à descendre silencieusement les marches escaliers de bois qui pouvaient parfois grincées. C’est à ce moment que je me retrouve rapidement devant la porte du salon. Quelques gouttes de sueurs me sont descendues du front étant effrayé par la situation ; je pris donc une profonde inspiration, gardant fermement ma bat de baseball entre les mains. J’ouvris la porte de la pièce et je pénétrais à l’intérieur avec une certaine inquiétude, comme un sentiment de malaise qui avait pris possession de moi. Je cherchais en vain l'interrupteur afin de pouvoir allumer la lumière le plus rapidement possible. Lorsque je trouvai celui-ci je tentai alors d’appuyer sur celle-ci, cependant, la lumière ne venait pas ; tremblant de peur, je pensais que c’était sûrement que la foudre avait atteint les fils électriques. Je restais immobile gardant en main mal précieuse bat de baseball lorsque j’entendis un son étrange, comme une personne de sexe masculin respirait tout juste derrière moi ; je pouvais tout juste sentir son souffle sur la peau de ma nuque. Tétanisé par la peur, je restai immobile comme un playmobile avant que la personne en question n’allumât la lumière lui-même et il se trouva que c’était enfaite mon père qui souhaitait seulement boire de l’eau car il avait soif et que son verre d’eau à la chambre était totalement vide. Rah, sacré papa !”
Voilà pour toi ! J'espère que j'aurai pu t'aider !