Bonjour, je voulais savoir si il serait possible de me traduire ce texte en espagnol car avec Google traduction ce n’est pas le vocabulaire exacte par moment. ( Au moment où je compare, il est demandé d’utiliser menos que/ más que-mientras que) Merci d’avance !

Il était une fois, dans une grande maison à Saint-Sébastien vivait la famille Sanz. Leur maison était très grande. Le petit-fils de 7 ans Diego, les parents Miguel et Rosa, les grands-parents Francisco et María partagèrent leur maison. Leur vie bascula le jour où Francisco, âgé de 85 ans, était devenu très fatigué et victime de nausées. Rosa reçu un appel du médecin le lendemain des analyses pour découvrir la maladie qu’affaiblissait Francisco. Le médecin n’en dit pas plus et indique au grand-père qu’un hôpital l’attend et qu’il faut qu’il se fasse suivre médicalement afin de découvrir précisément ce qu’il a. Dès le lendemain, le grand-père prépara ses affaires pour une durée inconnue et partit à l’hôpital en compagnie de Rosa et Diego. Ce jour- là, le père travaillait et la grand-mère suite à ses douleurs au dos restait à la maison. Le père et là grand-mère restaient donc à la maison. Le reste de la famille partirent à huit heures, il pleuvait et l’angoisse durant le trajet était pesante Arrivée à l’hôpital, le personnel semblait très occupé, le grand-père se présente à l’accueil, les infirmières l’accompagnèrent aussitôt jusqu’à sa chambre et la mère et petit fils installaient les affaires de Francisco avec le sourire malgré tout. Tout à coup quelqu’un se mit à toquer à la porte de chambre d’hôpital. Une infirmière rentre, elle avait l’air emparée. Sans un mot, elle s’assît sur une chaise dans la chambre et annonça tristement une terrible nouvelle: Le grand-père était victime d’un cancer. La famille s’effondra en larmes et afin de ne pas plus démoraliser le grand-père sachant qu’il l’était déjà, Rosa sortit de la chambre et partit marcher avec l’infirmière pour reprendre ses esprits. En attendant, Francisco restait en compagnie de son petit-fils. Il imaginait déjà le pire. Alors, c’est à ce moment-là qu’il commença à se confier à son fils avant qu’il ne soit trop tard. Il se mit à échanger  avec son petit-fils sur le passé pour l’instruire :



«  Quand j’avais ton âge, la télévision ; les radars ; les micro-ondes et les lave-vaisselles n’existaient pas, tandis que maintenant les jeunes restent beaucoup sur leurs écrans et font tout de manière robotisée. » expliqua Francisco.
« C’est génial ! On s’ennuie moins qu’avant grâce aux écrans».  Répondit le fils.
« Non, cela vous détache du monde réel … » défendu l’homme âgé.
«  Prouve-moi que la vie d’avant était mieux que celle du présent  ! » demanda le jeune garçon.
«  Avant on préservait plus la nature que maintenant où il est plus rare de voir un espace naturel, sans construction. » Énonca le vieillard.
« Et alors ? C’est mieux, de nos jours, il y a plus de magasins qu’avant.» dénonça l’enfant avec naïveté.
« Justement…. Quand j’étais jeune, les parents et les enfants parlaient et jouaient ensemble tandis que désormais, on court les magasins et se disputent pour avoir la télécommande. » élucida Francisco.
« Je préfère faire les magasins, il y a tellement de choses à acheter.» déclara Diego.
« Oui, mais avant, les prix étaient moins chers qu’aujourd’hui. Et puis il existe plein d’autres activités. Par exemple, avant nous jouons plus aux billes tandis que maintenant vous jouez à des jeux vidéos violents.»  dit son papi.
« C’est tout ce que vous faisiez ? » demanda Diego.
« Non, avant on jouait plus à la corde à sauter, aux toupies, au béret, cache-cache, trappe jeu ou encore à la marelle qu’actuellement. » dit le malade.
« Mais maintenant, c'est mieux, on peut aller aux cinémas, écouter de la musique, jouer à des jeux vidéos, communiquer par message. » énonça  le petit fils.
«  C’est plus pratique que maintenant mais vous vivez dans un monde trop virtuel. » rétorqua Francisco.
« Est-il vrai qu’à l’école avant on vous parliez de la politesse et vous saviez mieux ce qu’était le respect que maintenant ? » demanda le jeune écolier.
   -« Oui mais la vie a bien changé… Plus rien n’est comme avant… Et crois-moi, mon petit fils, je ne regrette pas le « bon vieux temps »… Elle était belle la vie, de mon temps ! Cette société est devenue bien trop superficielle et exigeante. » 



Sagot :

Réponse :

Érase una vez, la familia Sanz vivía en una gran casa en San Sebastián. Su casa era muy grande. El nieto Diego, de 7 años, los padres Miguel y Rosa, y los abuelos Francisco y María compartían su casa. Su vida cambió el día en que Francisco, de 85 años, se sintió muy cansado y con náuseas. Rosa recibió una llamada del médico al día siguiente de las pruebas para saber qué enfermedad debilitaba a Francisco. El médico no dijo nada más y le dijo al abuelo que le esperaba un hospital y que había que hacerle un seguimiento médico para saber exactamente qué le pasaba. Al día siguiente, el abuelo recogió sus cosas por un tiempo desconocido y se fue al hospital con Rosa y Diego. Ese día, el padre estaba trabajando y la abuela se quedaba en casa por sus dolores de espalda. El padre y la abuela se quedaron en casa. El resto de la familia salió a las ocho, estaba lloviendo y la ansiedad durante el viaje era grande. Cuando llegaron al hospital, el personal parecía estar muy ocupado, el abuelo se dirigió a la recepción, las enfermeras lo acompañaron a su habitación y la madre y el nieto acomodaron las cosas de Francisco con una sonrisa en la cara. De repente, alguien llamó a la puerta de la habitación del hospital. Entró una enfermera que parecía muy emocionada. Sin mediar palabra, se sentó en una silla de la habitación y anunció con tristeza la terrible noticia: el abuelo tenía cáncer. La familia rompió a llorar y para no desmoralizar más al abuelo, sabiendo que ya estaba desmoralizado, Rosa salió de la habitación y se fue a dar un paseo con la enfermera para recuperarse. Mientras tanto, Francisco se quedó con su nieto. Ya se imaginaba lo peor. Fue entonces cuando empezó a confiar en su hijo antes de que fuera demasiado tarde. Comenzó a hablar con su nieto sobre el pasado para educarlo:

"Cuando yo tenía su edad, no existían la televisión, el radar, el microondas ni el lavavajillas, mientras que ahora los jóvenes están mucho tiempo pendientes de sus pantallas y lo hacen todo de forma robotizada", explica Francisco.

"¡Es genial! Nos aburrimos menos que antes gracias a las pantallas".  respondió el hijo.

"No, te separa del mundo real...", defendió el mayor.

"¡Demuéstrame que la vida de antes era mejor que la de ahora!", pidió el joven.

"Antes se preservaba más la naturaleza que ahora, cuando es raro ver un espacio natural, sin construcciones. dijo el anciano.

"¿Y qué? Es mejor, hoy en día hay más tiendas que antes", denunció ingenuamente el niño.

"Exactamente.... Cuando era joven, padres e hijos solían hablar y jugar juntos, pero ahora corremos por las tiendas y nos peleamos por el mando a distancia", explicó Francisco.

"Prefiero ir de compras, hay muchas cosas que comprar", dijo Diego.

"Sí, pero antes los precios eran más baratos que ahora. Y luego hay muchas otras actividades. Por ejemplo, antes jugábamos a las canicas mientras que ahora jugáis a videojuegos violentos", dijo su abuelo.

"¿Eso es todo lo que hacías?", preguntó Diego.

"No, antes jugábamos más a la comba, a la peonza, a la boina, al escondite, a la trampilla o a la rayuela que ahora", dijo el paciente.

"Pero ahora es mejor, podemos ir al cine, escuchar música, jugar a videojuegos, comunicarnos por mensajes", dijo el nieto.

"Es más cómodo que ahora, pero vives en un mundo demasiado virtual", replicó Francisco.

"¿Es cierto que antes en la escuela te hablaban de la cortesía y sabías mejor lo que era el respeto que ahora?", preguntó el joven escolar.

  -" Sí, pero la vida ha cambiado... Nada es como antes... Y créeme, hijito, no me arrepiento de los "buenos tiempos"... ¡La vida era hermosa en mi época! Esta sociedad se ha vuelto demasiado superficial y exigente.

voila voila

Explications :