Sagot :
bonjour,
Je viens de voir ma bien-aimée
Et vais au hasard, sans desseins,
La bouche encor tout embaumée
Mes yeux voient à travers le voile
Qu'y laisse le plaisir récent,
Dans chaque lanterne une étoile,
Un ami dans chaque passant.
Chauves-souris disséminées,
Mes tristesses s'en vont en l'air
Se cacher par les cheminées.
Noires, sur le couchant vert-clair.
Le gaz s'allume aux étalages...
Moi, je crois, au lieu du trottoir,
Fouler sous mes pieds les nuages
Ou les tapis de son boudoir.
Car elle suit mes courses folles,
Et le vent vient me caresser
Avec le son de ses paroles
Et le parfum de son baiser.
1) il y a « je viens de voir ma bien aimée »
2) « Avec le son de ses paroles
Et le parfum de son baiser. »
3) « Qu'y laisse le plaisir récent, »
4) Le poème est cité comme poème romantique
Je viens de voir ma bien-aimée
Et vais au hasard, sans desseins,
La bouche encor tout embaumée
Mes yeux voient à travers le voile
Qu'y laisse le plaisir récent,
Dans chaque lanterne une étoile,
Un ami dans chaque passant.
Chauves-souris disséminées,
Mes tristesses s'en vont en l'air
Se cacher par les cheminées.
Noires, sur le couchant vert-clair.
Le gaz s'allume aux étalages...
Moi, je crois, au lieu du trottoir,
Fouler sous mes pieds les nuages
Ou les tapis de son boudoir.
Car elle suit mes courses folles,
Et le vent vient me caresser
Avec le son de ses paroles
Et le parfum de son baiser.
1) il y a « je viens de voir ma bien aimée »
2) « Avec le son de ses paroles
Et le parfum de son baiser. »
3) « Qu'y laisse le plaisir récent, »
4) Le poème est cité comme poème romantique