Sagot :
Bonjour
Réécrivez le texte à l'imparfait. Soulignez les verbes conjugués. C'est un matin d’octobre.
Un ciel tourmenté de gros nuages gris limitait l'horizon aux collines prochaines et rendait la campagne mélancolique. Les pruniers étaient nus, les pommiers étaient jaunes, les feuilles de noyer tombaient en une sorte de vol plané, large et lent d'abord, qui s'accentua d'un seul coup comme un plongeon d’épervier dès que l'angle de chute devint moins obtus. L'air était humide et tiède. Des ondes de vent couraient par intervalles. D'après Louis Pergaud, La Guerre des boutons (1912).
Bonjour,
C'était un matin d’octobre.Un ciel tourmenté de gros nuages gris limitait l'horizon aux collines prochaines et rendait la campagne mélancolique. Les pruniers étaient nus, les pommiers étaient jaunes, les feuilles de noyer tombaient en une sorte de vol plané, large et lent d'abord, qui s'accentuait d'un seul coup comme un plongeon d’épervier dès que l'angle de chute devenait moins obtus. L'air était humide et tiède. Des ondes de vent couraient par intervalles.
D'après Louis Pergaud, La Guerre des boutons (1912).