Dans ce texte la ville de Paris est présentée comme étant pleine de monde et de vivante, ligne 2 « cette mer vivante » et à la ligne 3 « la voix profonde des foules ». Elle est aussi décrite comme étant pleine de pollution, à la ligne 4 « sous le gratte ciel pâle » et « d’un gris doux et tendre » à la ligne 5.