Dans poèmes 6ème 5ème, expliquer le dernier tercet de "Au feuillantines" (p.8).
Faites-vite s'il-vous-plait.
Merci d'avance.


Sagot :

Réponse :

Nous l'ouvrîmes alors tout grand sur nos genoux,

Et dès le premier mot il nous parut si doux

Qu'oubliant de jouer, nous nous mîmes à lire.

Nous lûmes tous les trois ainsi, tout le matin,

Joseph, Ruth et Booz, le bon Samaritain,

Et, toujours plus charmés, le soir nous le relûmes.

Tels des enfants, s'ils ont pris un oiseau des cieux,

S'appellent en riant et s'étonnent, joyeux,

De sentir dans leur main la douceur de ses plumes.

Le dernier tercet repose sur une comparaison :

le comparant : les enfants qui ont un oiseau dans les mains et lui caressent les plumes.

Le comparé est NOUS, le poète et ses enfants qui lisent  des histoires dans la Bible.(les deux tetrcets précédents)

L'analogie (=le point commun) : la joie, la douceur du moment