Réponse:
Présenté souvent comme l'exemple du roman réaliste, Eugénie Grandet propose la vision pessimiste d'un monde déshumanisé, étouffant, où la narration cède la place à description. Les personnages sans avenir autre que celui de la répétition et de l'échec, ses décors sans âmes sans amour, où les êtres s'animalisent et disparaissent au profit de l'or.