À Dubaï, les conditions de travail et de vie des immigrés indiens, pakistanais ou bangladeshis employés sur les chantiers sont déplorables. Très mal payés, ils sont parqués dans des camps d'hébergement. Certains immigrés témoignent de ces conditions. D'après le sous-secrétaire d'État au travail dubaïote, les employeurs n'ont pas le droit de garder leurs passeports pour faire pression sur eux.