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Vous êtes un jeune français pendant la Seconde Guerre mondiale. Appelé au STO en 1943, vous préférez fuir et rejoindre un maquis de votre région, pour intégrer la Résistance. Vous écrivez clandestinement à vos parents afin de leur expliquer le sens de votre engagement.

1) Continuer la lutte
Commencez votre lettre en expliquant les raisons de votre engagement. Inspirez vous de l'appel du 18 juin du général de gaulle pour rédiger le début de votre lettre, ainsi que du témoignage d'une résistance, Lucie Aubrac.

2) l'organisation de la résistance
0Continuez votre lettre en décrivant l'organisation générale et les principales actions de la résistance.
présentez les groupes suivants.
résumez l'organisation de la Résistance ( mouvements, réseaux, maquis, clandestinité).

3) dans un maquis
finissez votre lettre en racontant la vie quotidienne dans un maquis, et différentes actions menées dans la résistance.

En faite j'ai déjà fait mais je voufrai votre avis dessus s'il vous plaît.

Mes cher parents

Je vous écris cette lettre, pour vous dire à quel point je vous aime et que vous allez me manquer. J'ai pris une décision sans vois avoir consulté avant est que j'aurai préféré vous dire en face de vous pour avoir votre opinion et votre ressentiment avant de partir.
Comme vous le asaviez déjà, depuis quelques mois j'ai reçu l'ordre de partir en Allemagne pour fabriquer des armes au STO et j'ai préféré m'échapper avec des amis de quartier pour rejoindre un maquis de notre région, pour intégrer la Résistance de l'appel du 18 juin éditer par le général de Gaulle. Notre mission sera d'aider les Juifs en fuite, saboter les lignes téléphoniques, renseigner et fournis des informations en Angleterre puis d'attaquer des convois allemands...
Je sais que vous allez me dire que je risque ma vie. Oui! Mais c'est pour la bonne cause de notre patrie que je fais sa et je veux être nécessaire avec mes amis et les alliés pour la liberation de la France, être comme Lucie Aubrac considéré comme une personne exemplaire de courage pour la patrie.
Ne vous inquiétez pas pour moi, je serais prudent, mais si il m'arrive quelque chose lors de cette guerre, je voudrais que vous quittiez le quartier, la ville le plus vite possible pour partir chez mon oncle en Espagne qui vous attendra en cas de danger de mort.
Je vous envoye avec une grande tristesse mes Adieu et touts mon amour ma très cher mère a doré et mon père préféré.

Je vois aime
Votre fille adoré ​


Merci à la personne qui m'aidera

Sagot :

Bonjour,

   ( Ceci est pure fiction ).

 ‘’ Mes chers parents,

Cette lettre va certainement vous surprendre.

J’aurais préféré discuter avec vous, écouter vos arguments, vos réserves… mais je n’ai pas pu car je pense que j’aurais fléchi dans ma décision….

Comme vous le savez, j’ai reçu l’ordre de partir lundi prochain en Allemagne pour travailler dans une usine de fabrique de chars, le fameux STO.

Je ne puis accepter que moi, Français, j’aille aider les Boches ( surnom négatif donné aux Allemands ) à fabriquer du matériel qui servira à tuer ceux qui viendront pour nous délivrer.

J’ai pris la décision de m’engager dans un maquis ( je ne vous dit pas lequel ).

J’ai vingt et un ans, je veux aider mon pays à retrouver sa liberté, combattre les nazis et leur monstrueuse idéologie, je ne puis plus supporter cette domination barbare à laquelle nous sommes tous soumis.

Je vous promets que je serai prudent, je ne m’exposerai pas au danger inutilement mais vous savez que je sais manipuler un fusil ( souvenez-vous du chien enragé de 1937 ).

Nous allons mener la vie dure aux Boches, vos entendrez parler de nous, qu’ils surveillent bien leurs convois, matériel militaire, trains, ponts, lignes téléphoniques…

Dans le maquis, je bénéficierai de l'expérience des plus anciens et je sais qu'il y règne une grande soliodarité entre les divers membres.

Nous serons en contacts  avec d'autres réseaux de résistance.

J’espère que je pourrai vous donner de mes nouvelles… je ne suis pas seul dans la lutte, autour de vous d’autres agissent dans l’ombre… ensemble, avec les alliés, nous allons libérer la France.

Je termine en vous envoyant toute mon affection, à toi, ma douce maman, à toi aussi papa.

                                                                               Votre Julien.

PS . Si vous rencontrez Simonne, dites-lui que je pense souvent à elle ‘’.

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