L'Europe doit faire face au vieillissement de sa population qui met en danger sa croissance sur le long terme puisque cela représente un coût pour les retraites et une diminution de la population active donc, de la productivité. Au contraire, les Etats-Unis sont "une nation de migrants", qui plus est, des migrants qualifiés.
Il est de mise de dire qu'aux USA la réussite sociale est encouragé - question de culture certainement - mais aussi car le système de sécurité social européen est fort à l'inverse de celui des Américains ce qui stimulerait chez eux, l'effort au travail bien que " les plus indigents reçoivent une assistance publique" comme " le système d’aide alimentaire, le "food stamp"" et le " programme Medicaid pour les très faibles revenus." Il n'en demeure pas moins que "quarante millions d’Américains vivent en dessous du seuil de pauvreté, soit 13,2% de la population en 2008" les Etats-Unis reposant sur un système capitaliste libéral où l'Etat intervient en dernier recours.
Les finances publiques sont aussi un point faible aux USA. C'est même un grand gouffre au vue de "l'ampleur de la dette mais surtout parce qu'elle augmente à une vitesse fulgurante et ne saurait être compensé par une simple réduction des dépenses. La dette publique est bien un problème en Europe également mais cela reste "limité" puisqu'on a affaire à un système très différent reposant sur un ensemble d'Etat souverain, La Grèce représentant "à peine 3 % du PIB européen" par exemple. Les débats et les points à travaillr y sont d'ailleurs plus clarifié qu'aux USA.
Il n'empêche pourtant que se sont les Etats-Unis qui l'emporte sur la "cohésion politique" : processus moins long et plus éfficace car c'est avant tout une nation et ce qui fait la force de l'UE en un sens, fait sa faiblesse au niveau d'une cohérence politique pour sa monnaie unique car les intérêts divergent d'une nation souveraine à une autre.
Je n'ai pas tout travaillé mais j'espère que pour toi ce sera un bon début parce qu'à mon avis, il en manque un peu sur la question du chômage et le dernier paragraphe sur la question technologique où l'Europe est plutôt en retard par rapport aux USA.