Sagot :
Réponse :
Bonjour, voici ce que je te propose comme correction ( Tout n'est pas forcément juste mais j'ai fais au mieux pour que tout soit correct ). Bon week-end à toi. N'oublie pas qu'avec " Je " les terminaisons finissent toujours par un " s " et non un " t " . Attention aux fautes de conjugaison.
Explications :
J’avais passé toute la soirée à fêter l’anniversaire de mon ami Mike. Il faisait nuit noire, il était aux alentours de 2 heures du matin quand je décidai de quitter la fête. Maintenant, je suis là. Dans les ténèbres de la nuit, sans lampadaires pour m’éclairer. Je hâtais le pas car je n’avais qu’une seule envie, rentrer chez moi et dormir. J’aperçus enfin mon immeuble au bout de la rue. J’habitais dans le pire appartement qui puisse exister dans un vieux bâtiment décrépi et tout ça dans une ruelle très mal fréquentée.
Mon appartement ne possédait aucun chauffage. Il n’y avait de l’électricité qu’une fois toutes les 10 minutes, il y avait des fuites d’eau un peu partout dans la maison, les toilettes était souvent bouchés, il y avait des souris qui faisaient du tourisme dans mon appartement. Mais bon, avec mes 2 emplois c’était le seul appartement que je pouvais me permettre. Arrivé devant mon immeuble, je ralentis la cadence. Je trainais des pieds jusqu’à mon immeuble et me dirigeais vers l’ascenseur. Je levais ma tête pour demander l’ascenseur quand soudain j’aperçus un mime. Je ne m’alerta pas plus que ça. Il était habillé d’un ensemble rayé de deux couleurs : noir et blanc. Il avait le visage peint non pas de la même façon qu’un mime mais de la même façon qu’un clown. Il avait un béret noir sur la tête. D’une main il me faisait un ‘’bonjour’’ mécanique et de l’autre main, Il tenait un ballon attaché à une ficelle sur lequel était écrit « Joyeux anniversaire Mike ! »… J’eu le souffle coupé ! De toute évidence ce mime m’avait l’air étrange. Je lui accordais un petit sourire gêné.
Ce dernier s’avançait vers moi et me passait un nez de clown. Je lui fis un « Aurevoir mécanique » et je me décidais à prendre les escalier. Tant pis si j’habitais au 9ème étage ! Je ne voulais pas rester à moins de 5 mètres de ce mîme ! J’escaladais les marches avec un certain rythme jusqu’au 4ème étage… Je cru voir longer quelque chose derrière moi. Pour m’assurer que je me faisais des idées , je me retournais et j’en eu la chair de poule. Le mime était là ! Il était là, dans la cage d’escalier en train de monter les marches. Ce qui me terrorisais c’était que le mime ne montait pas les marches normalement, il les montaient en mimant la discrétion. Quand le mime sût qu’il eut été repérer il se figea. Je décidais d’aller le voir et de lui dire qu’il mimait très bien , que c’était le meilleur mime que je n’avais jamais vu mais que j’étais fatigué et que je voulais juste que ce dernier arrête de me suivre. Je me disais qu'en lui disant ça il allait arrêter ! Pas du tout, il n’eût aucune réaction. Je perdis mon sang froid , je compris que ça ne tournait pas rond, et je couru comme je n’avais jamais couru jusqu’au neuvième étage. Je remarquais pendant ma course que mon poursuivant avait commencé lui aussi à courir. Je craquais et lui hurlais dessus en lui disant que j’allais appeler la police s’il continuait. D’un coup l’expression du mime changeait et il commençait à être triste ou plutôt jouer la tristesse.
En effet, c’est à ce moment précis que je compris avec certitude que mon poursuivant n’était pas là pour rigoler mais plutôt pour de mauvaises intentions. J’aperçus enfin mon appartement, au bout du couloir, j’accélérais la cadence, j’ouvris la porte , et j’entrais à une vitesse folle tout en refermant la porte. J’étais sous le choc de ce qui venait de m’arriver ! Au moment de reprendre mes esprits, au moment où je me croyais être tiré d’affaires, j’entendis des frottements contre ma porte d’entrée, des frottements que l’on réalise avec ses ongles. Après quelques secondes je pris mon courage à deux mains et décidai de regarder dans l’œillet. Le mime était bien là et lui aussi fixait l’œillet, Il ouvrait sa bouche à s’en déboiter la mâchoire, une langue aussi crochue qu’une langue de serpent y sortit. J’en eu des sueurs froides. J’étais pris de panique, tétanisé, mes membres ne voulaient plus bouger. Le mime mit ses deux mains sur les coins de son visage, ouvrit la bouche comme s’il était étonné et il se mit à faire des cliquetis avec sa langue. A chaque cliquetis, il tapait avec son pied contre la porte. Je compris que l’homme allait trop loin pour quelqu’un qui n’avait pas de mauvaises intentions.
J'avais passé toute la soirée à fêter l'anniversaire de mon ami Mike.
Il faisait nuit noire, il était aux alentours de 2 heures quand je décidai de quitter la fête.
Maintenant, j'étais là. Dans les ténèbres de la nuit, sans lampadaires pour m'éclairer. Je hâtais le pas car je n'avais qu'une seule envie, rentrer chez moi et dormir.
J'aperçus enfin mon immeuble au bout de la rue. J'habitais dans le pire appartement qui puisse exister dans un vieux bâtiment décrépi et tout ca dans une ruelle très mal fréquentée.
Mon appartement ne possédait aucun chauffage. Il n'y avait de l'électricité qu'une fois toutes les 10 mn, il y avait des fuites d'eau un peu partout dans la maison, les toilettes étaient souvent bouchés, il y avait des souris qui faisaient du tourisme dans mon appartement. Mais bon, avec mes 2 emplois c'était le seul appartement que je pouvais me permettre.
Arrivé devant mon immeuble, je ralentis la cadence. Je trainais des pieds jusqu'à mon immeuble et me dirigeai pour demander l'ascenseur quand soudain j'aperçu un mime. Je ne m'alertai pas plus que ca.
Il était habillé d'un ensemble rayé de 2 couleurs : noir et blanc. Il avait le visage peint non pas de la même façon qu'un mime mais de la même façon qu'un clown. Il avait un béret noir sur la tête. D'une main il me faisait un "bonjour" mécanique et de l'autre main ... Il tenait un ballon attaché à une ficelle sur lequel était écrit "joyeux anniversaire Mike"...J'en eu le souffle coupé !
De toute évidence ce mime avait l'air étrange. Je lui accordai un petit sourire gêné. Ce dernier s'avança vers moi et me passa un nez de clown. Je lui fis un "au revoir mécanique" et je me décidais à prendre les escaliers. Tant pis si j'habitais au 9é étage ! Je ne voulais pas rester à moins de 5 mètres de ce mime !
J'escaladais les marche avec un certain rythme jusqu'au 4e étage... Je crus voir longer quelque chose derrière moi. Pour m'assurer que je me faisais des idées, je me retournai et j'en eu la chair de poule. Le mime était là ! Il était là dans la cage d'escaliers en train de monter les marches. Ce qui me terrorisait, c'était que le mime ne montait pas les marches normalement, il les montait en mimant la discrétion.
Quand le mime a su qu'il était repéré, il se figea. Je décidai d'aller le voir et de lui dire qu'il mimait très bien, que c'était le meilleur mime que je n'avais jamais vu, mais que j'étais fatigué et que je voulais juste que ce dernier arrête de me suivre.
Je me disais qu'en lui disant cela, il allait arrêter ! Pas du tout, il n'eut aucune réaction. Je perdis mon sang froid, je compris que ca ne tournait pas rond et je courus comme je n'avais jamais couru jusqu'au 9e étage.
Je remarquai pendant ma course que mon poursuivant avait commencé lui aussi à courir. Je craquai et lui hurlai dessus en lui disant que j'allais appelé la police s'il continuait !
D'un coup l'expression du mime changea et il commença à être triste ou plutôt jouer la tristesse. En effet, c'est à ce moment précis que je compris avec certitude que mon poursuivant n'était pas là pour rigoler mais plutôt pour de mauvaises intentions ! J'aperçus enfin mon appartement, au bout du couloir, j'accélérai la cadence, j'ouvris la porte, et j'entrai à une vitesse folle tout en refermant la porte.
J'étais sous le choc de ce qu'il venait de m'arriver !
Au moment de reprendre mes esprits, au moment où je me croyais tirer d'affaire.. J'entendis des frottements contre ma porte d'entrée, des frottements qu'on réalise avec ses ongles. Après quelques secondes, je pris mon courage à 2 mains et décida de regarder dans l'œillet.
Le mime était bien là et lui aussi fixait l'œillet, il ouvrit la bouche à s'en déboiter la mâchoire, une langue aussi crochue qu'une langue de serpent en sortit. J'en eu des sueurs froides. J'étais pris de panique, tétanisais, mes membres ne voulaient plus bouger.
Le mime mit ses 2 mains sur les coins de son visage, ouvrit la bouche comme s'il était étonné et il se mit à faire des cliquetis avec sa langue.
A chaque cliquetis, il tapait avec son pied contre la porte. Je compris que l'homme allait trop loin pour quelqu'un qui n'avait pas de mauvais attention....