Sagot :
Colin traversa la rue. Deux amoureux s’embrassaient sous un porche. Il ferma les yeux et se mit à courir… Il les rouvrit très vite, car il voyait, sous ses paupières, des tas de filles et ça lui faisait perdre son chemin. Il y en avait une devant lui. Elle se dirigeait lentement vers la même direction. On voyait ses jolies jambes dans des bottillons de mouton blanc, son manteau de peau de pandour décatie et sa toque assortie. Des cheveux roux sous sa toque. Son manteau lui faisait des épaules larges et dansait autour d’elle. (…)
Il la dépassa et se mit à pleurer. Elle comptait au moins cinquante-neuf ans. Il s’assit au bord du trottoir et pleura encore. Ça le soulageait beaucoup et les larmes gelaient avec un petit crépitement et se cassaient sur le granit lisse du trottoir.
Il s’aperçut, au bout de cinq minutes, qu’il se trouvait devant la maison d’Isis Ponteauzanne. Deux jeunes filles passèrent près de lui et pénétrèrent dans le vestibule de l’immeuble.
Son cœur s’enfla démesurément, s’allégea, le souleva de terre, et il entra à leur suite.
Il la dépassa et se mit à pleurer. Elle comptait au moins cinquante-neuf ans. Il s’assit au bord du trottoir et pleura encore. Ça le soulageait beaucoup et les larmes gelaient avec un petit crépitement et se cassaient sur le granit lisse du trottoir.
Il s’aperçut, au bout de cinq minutes, qu’il se trouvait devant la maison d’Isis Ponteauzanne. Deux jeunes filles passèrent près de lui et pénétrèrent dans le vestibule de l’immeuble.
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Réponse:
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Explications:
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