Réponse :
Si chacun a sa propre définition du bonheur, il faut bien reconnaître que la société de consommation a bien rebattu les cartes. Ils sont nombreux ceux qui désirent toujours plus ; faut-il chercher le bonheur dans l'avoir dans l'être? Tiraillés entre ces deux pôles, nous étudierons d'abord les dangers de chercher la satisfaction dans les choses pour aborder ensuite ce supplément d'âme que constitue l'épanouissement de l'être.
I. Le bonheur est-il dans les choses ?
La société de consommation a crée en chacun des désirs légitimes de vie plus facile mais avec elle la publicité a suscité des envies, des insatisfactions entraînant de nombreux contemporains vers la frénésie des achats, l'endettement, l'insatisfactions.
EX : Les Choses de Georges Pérec
La Complainte du progrès de Boris Vian
II. Comment privilégier l'être sur l'avoir ?
- le plaisir d'être entouré de gens qu'on apprécie, qu'on aime
- retrouver les joies simples de la promenade, de la cuisine qu'on fait soi même et qu'on partage, les activités créatrices, les relations sociales, la découverte de l'art ...
