Sagot :
« Lily, où es-tu passé ? »
Plus de vingt minutes déjà que je cherchais Lily, une petite fille que m’a confié la voisine tandis qu’elle devait se rendre à un rendez vous chez son médecin.
« Lily ? Aller on arrête de jouer, reviens ! »
Mes yeux n’arrêtaient pas de rouler à droite et à gauche, si j’étais une enfant, ou est-ce que j’aurais pu le cacher ?
« Lily, si tu reviens, je te mets tes dessins animés préféré à la télévision ! »
Miraculeusement, je vis Lily au bout de la rue, caressant un vieux chat. Elle s’était accroupie et balbutiait des mots incompréhensibles.
Le gros minet se leva, et Lily la suivit, elle était désormais au beau milieu de la rue !
« Lily ! Décale toi ! Tu ne peux pas t’asseoir en plein milieu de la route ! »
Je me mis à courir le plus rapidement, criant jusqu’à m’en déchirer les cordes vocales. Les passants me regardaient comme une folle, mais aucun ne daigna récupérer la petite fille.
Brusquement, les freins d’une voiture de dire entendre, et sans réfléchir, je me précipita sur Lily, espérant couvrir son petit corps fragile avec le mien.
Quelques secondes s’étaient écoulées, j’ouvris alors les yeux, Lily était la, entre les bras, recroquevillée sur elle même, la voiture était rentrée dans un lampadaire.
Je me suis relevée, et me suis assurée que tout le monde allait bien
« Lily, est-ce que tu va- »
Je n’ai pas eu le temps de finir ma phrase qu’un torrent d’applaudissement se firent entendre, les passants, les mêmes qui n’avaient pas bougé lorsque Lily était encore en danger, me filmaient tous, applaudissaient, et arboraient de grands sourires.
Plus de vingt minutes déjà que je cherchais Lily, une petite fille que m’a confié la voisine tandis qu’elle devait se rendre à un rendez vous chez son médecin.
« Lily ? Aller on arrête de jouer, reviens ! »
Mes yeux n’arrêtaient pas de rouler à droite et à gauche, si j’étais une enfant, ou est-ce que j’aurais pu le cacher ?
« Lily, si tu reviens, je te mets tes dessins animés préféré à la télévision ! »
Miraculeusement, je vis Lily au bout de la rue, caressant un vieux chat. Elle s’était accroupie et balbutiait des mots incompréhensibles.
Le gros minet se leva, et Lily la suivit, elle était désormais au beau milieu de la rue !
« Lily ! Décale toi ! Tu ne peux pas t’asseoir en plein milieu de la route ! »
Je me mis à courir le plus rapidement, criant jusqu’à m’en déchirer les cordes vocales. Les passants me regardaient comme une folle, mais aucun ne daigna récupérer la petite fille.
Brusquement, les freins d’une voiture de dire entendre, et sans réfléchir, je me précipita sur Lily, espérant couvrir son petit corps fragile avec le mien.
Quelques secondes s’étaient écoulées, j’ouvris alors les yeux, Lily était la, entre les bras, recroquevillée sur elle même, la voiture était rentrée dans un lampadaire.
Je me suis relevée, et me suis assurée que tout le monde allait bien
« Lily, est-ce que tu va- »
Je n’ai pas eu le temps de finir ma phrase qu’un torrent d’applaudissement se firent entendre, les passants, les mêmes qui n’avaient pas bougé lorsque Lily était encore en danger, me filmaient tous, applaudissaient, et arboraient de grands sourires.