Ennemi ou camarade? Paul Bäumer un jeune Allemand qui s'est engagé dans l'armée en 1916, se bo sur le front de l'Ouest Lors des combats, il se retrouve dans un refuge avec un soldat français, qu'il poignarde Après une longue agonie, ce dernier meurt i de ciste auprès de celui qui l'a tué mplies ne nous dit-on pas sans cesse que vous êtes, vous 10 toujours trop tard. Pourquoi de la mort, la même façon de arque n écrivain il fut mée st rien roman mière Ce livre utodafés les nôtres et que nous avons tous 25-tu 10 j'en ferai encore » re 25 » oms et m'adresse à lui, en lui disant, «Camarade, je ne voulais pas te tuer. Si encore Le silence se prolonge. Je parle, il faut que je parle. C'est pourquoi aussi tu sois raisonnable. Mais d'abord tu n'as été pour moi qu'une idée une une fois, tu sautais dans ce trou, je ne le ferais plus, à condition que lo 5 combinaison née dans mon cerveau et qui a suscité une résolution. C'est cette combinaison que j'ai poignardée À présent je m'aperçois pour la première for que tu es un homme comme moi. J'ai pensé à tes grenades, à ta balonnette à tes armes, maintenant c'est ta femme que je vois, ainsi que ton visage et qu'il y a en nous de commun. Pardonne-moi, camarade. Nous voyons les choses aussi, de pauvres chiens comme nous, que vos mères se tourmentent comme même peur mourir et les mêmes souffrances? Pardonne-moi, camarade, commenta 15 être mon frère, tout comme Kat et Albert Prends vingt ans de ma vie, cama. pu être mon ennemi? Si nous jetions ces armes et cet uniforme tu pourras rade, et lève-toi... Prends-en davantage, car je ne sais pas ce que, désormais Tout est calme. Le front est tranquille, à l'exception du crépitement des 20 contraire, on vise soigneusement de tous les côtés. Je ne puis pas quitter mon fusils. Les balles se suivent de près, on ne tire pas n'importe comment au «J'écrirai à ta femme, dis-je hâtivement au mort. Je veux lui écrire, c'est moi qui lui apprendrai la nouvelle; je veux tout lui dire, de ce que je te dis, il ne faut pas qu'elle souffre; je l'aiderai, et tes parents aussi, ainsi que ton enfant Son uniforme est encore entrouvert. Il est facile de trouver le portefeuille Mais j'hésite à l'ouvrir. Il y a là son livret militaire avec son nom. Tanto image. Mais son nom est un clou qui s'enfoncera en moi et que je ne pourrai j'ignore son nom je pourrai peut-être encore l'oublier; le temps effacera cele plus arracher. Il a cette force de tout rappeler, en tout temps; cette scène pourra 30 toujours se reproduire et se présenter devant moi. Sans savoir que faire, je tiens dans ma main le portefeuille. Il m'échappe et s'ouvre. Il en tombe des portraits et des lettres. Je les ramasse pour les remettre en place; mais la dépression que je subis, toute cette situation incertaine, la faim, le danger, ces heures passées avec le mort ont fait de moi un désespére as je veux hâter le dénouement, accroître la torture, pour y mettre fin, de même que l'on fracasse contre un arbre une main dont la douleur est insupportable, sans se soucier de ce qui arrivera ensuite. Ce sont les portraits d'une femme et d'une petite fille, de menues photogra phies d'amateur prises devant un mur de lierre. A côté d'elles il y a des lettres.

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Sagot :

« Pourquoi de la mort, la même façon de arque n écrivain il fut mée st rien roman mière Ce livre utodafés les nôtres et que nous avons tous 25-tu 10 j'en ferai encore » re 25 » oms et m'adresse à lui, en lui disant, «Camarade, je ne voulais pas te tuer. J'ai pensé à tes grenades, à ta balonnette à tes armes, maintenant c'est ta femme que je vois, ainsi que ton visage et qu'il y a en nous de commun. Pardonne-moi, camarade. Pardonne-moi, camarade, commenta 15 être mon frère, tout comme Kat et Albert Prends vingt ans de ma vie, cama.

Les balles se suivent de près, on ne tire pas n'importe comment au «J'écrirai à ta femme, dis-je hâtivement au mort. » Ce sont les portraits d'une femme et d'une petite fille, de menues photogra phies d'amateur prises devant un mur de lierre.