Sagot :
Réponse : Pablo Neruda
Les figures de style en gras
Explications :
J’aime quand tu te tais, parce que tu es comme absente,
et tu m’entends au loin, et ma voix ne t’atteint pas. (antithèse)
On dirait que tes yeux se sont envolés, (métaphore)
et on dirait qu’un baiser t’a clos la bouche
Comme toutes les choses sont remplies de mon âme,
tu émerges des choses pleine de mon âme.(métaphore)
Papillon de rêve, tu ressembles à mon âme
et tu ressembles au mot : mélancolie. (2 comparaisons)
J’aime quand tu te tais et que tu es comme distante. (anaphore : j'aime quand)
Et tu es comme plaintive (comparaison) , papillon que l’on berce.(métaphore)
Et tu m’entends au loin, et ma voix ne t’atteint pas:
laisse-moi me taire avec ton silence.
Laisse-moi aussi te parler avec ton silence,(antithèse)
clair comme une lampe, simple comme un anneau.
Tu es comme la nuit, silencieuse et constellée.( 3 comparaisons)
Ton silence est d’étoile, si lointain et si simple. (métaphore)
J’aime quand tu te tais, parce que tu es comme absente,
distante et dolente, comme si tu étais morte.
Un mot alors, un sourire suffisent,
et je suis heureux, heureux que ce ne soit pas vrai.
Un hymne comme une dédicace à la femme aimée
I. Une femme silencieuse
II. Une femme mystérieuse
III. Une femme insaisissable