HELP C'EST SIMPLE C'EST DU FRANÇAIS POIR DEMAIN
Ecrire une histoire avec des mots imposé
fantôme
fiche
cahier
manger
courageux
carton
chaussures
informer
taille-crayon
spécial
énorme
somnlent
rentrer
briller
fermer
penser
trousse
table
ferme
arbre
danger
orange
noirâtre


Sagot :

Réponse :

C'était lors qu'une de ces heures fatigantes de fin de journée, nous avions à peine fini de manger que nous devions rentrer courageusement en classe. Et c'est ainsi que l'histoire commença.

Comme à notre habitude, mes amis et moi aimions à échanger nos cahiers pour nous informer de ce que chacun avait mis dans ses fiches et ainsi comparer. A cet instant rien de spécial ne se passa, et nous vivions notre vie d'étudiants sans même nous douter de ce qu'il allait se passer juste après… Certains de mes amis, qui n'aiment pas beaucoup étudier, préféraient découper des figurines dans des morceaux de cartons, et d'autres somnolaient. Moi je regardais par la fenêtre cet arbre qui trône au milieu de la cour et qui en cette saison laissait tomber de belles feuilles oranges et or. Seulement, je réfléchissais à cette étrange lueur qui brillait  depuis la trousse de mon voisin. Mais en y pensant, la lueur semblait envahir toute la salle. En effet, soit parce que la lumière réfléchissait sur un taille-crayon en fer, soit parce qu'elle reluisait sur une montre, mais étrangement elle venait sur chaque table, chaque trousse, et de te partout un énorme éclat de lumière jaillie.

Un instant je fermis les yeux, pensant que ce n'était qu'un rêve, un signe de fatigue, et les réouvrant, courageux, se sentir que la lumière devenait noirâtre. En posant mon regard au sol, je vis que les lacets des chaussures de mon camarde étaient rester en l'air : le temps s'est arrêté !          

Alors, j'était seul dans ce vide complet ne sachant que faire. Seul ? Non. Un être étrange, vêtue d'une sorte de robe de chambre bien trop grande, la tête recouverte d'une capuche, empêchant que l'on voit son visage, resplendissant de lumière, arriva dans la classe. Le contraste en le fantôme blanc et la salle noirâtre était flagrante! Et puis, il passa près de moi, je fremis mais resta sans mot dire. Il ne fit que passer et disparu.

Et pourtant, je sentit un danger. Le temps repris, et mes amis ne surent rien. Et pourtant, sans cesse je le revoyais, ce fantôme qui me hantait ! Jamais je ne sus qu'il était, ce qu'il voulais, mais il restait là, comme s'il attendait le moment ultime pour m'emporter.

c'est peu être un peu grand ? Dis moi si ca te va ...