Sagot :
Réponse:
le fils :"Hé !... Hé !...."
la mère :"Qu'est-ce qu'il y a, mon fils ?."
le narrateur :"La voix était claire, reposée. Louis Hoareau ne dormait pas. Il ne semblait pas non plus bouleversé par le maelström qui menaçait d'emporter sa case."
la mère :"La case !.."
le narrateur :" Elle va s'envoler !.."
la mère :" Le toit... Puis brusquement je lui ai avoué la vérité ,
J'ai la trouille ! J'en peux plus d'avoir la 40. trouille comme ça !
Viens t'asseoir là, mon fils ! À tâtons, je me suis approché du lit. Je me suis assis, le dos appuyé contre le mur, les pieds encore au sol. J'ai senti une main ramper sur le drap, atteindre ma cuisse, puis chercher ma main et la trouver.
Ma peur s'en est trouvée atténuée.
la mère :" N'aie pas peur, mon fils, je suis là... Ton papa est là."
le narrateur :" J'ai regimbé devant ce mot. Il m'agaçait déjà à m'appeler mon fils à chaque fin de phrase, mais - ton papa , c'était trop. Il le savait bien, lui, et depuis plus longtemps que moi, qu'il n'était pas mon père. Espérait-il, en m'abusant, s'abuser lui même ?
La peur m'avait presque quitté. Ma main était toujours enserrée dans celle de... De cet homme, de
Louis Hoareau, comme on voudra. C'est normal que tu aies peur... C'est un
méchant cyclone.... Bizarrement, je l'entendais parfaitement, et pourtant il ne donnait pas l'impression de crier."