Bonjour pouvez vous m'aider avec mon devoir en français s'il vous plaît voici la Consigne :

Garçon devenu orphelin de père et de mère. Il se trouve en compagnie de sa grand- mère maternelle qu'il ne connaît pas. Celle-ci le ramène chez elle où il vivra désormais. souligne les adjectifs et les participes passés employés seuls. Acorde-les. Note ceux dont l'orthographe a changé dans la deuxième colonne.

je serrai fermement la main de Mamie, lorsque, sortant des sombre souterrains de la gare, je débouchai dans les rues d'une ville inconnu. J'étais bien décidé à faire confiance à Mamie. pourtant je ne l'avais jamais vue jusqu'à ce jour et sa figure usé, ses yeux bleu, flétri, ne me rappelaient en rien le visage de ma mère. En dépit du chocolat à la crème qu'elle m'avait acheté à un distributeur automatique, elle n'était pas encore parvenue à m'inspirer de l'affection. Durant le voyage de Winton, dans un compartiment de troisième classe, elle était restée tristement assise en face de moi. Elle portait une robe gris râpé, fermé par une gros broche de perles, une étroit fourrure miteux autour du cou et un chapeau cloche noir, incliné sur l'oreille. La tête tourné de côté, elle regardait par la portière en remuant les lèvres et semblait entretenir avec elle-même une conversation silencieux, sans doute émouvant, car, de temps à autres, elle s'essuyait les yeux avec une pochette, comme pour chasser une mouche.

A.-J. CRONIN, Vertes années, © Éditions de la Paix, 1947,

je serrai fermement la main de Mamie, lorsque, sortant des sombres souterrains de la gare, je débouchai dans les rues d'une ville inconnue. J'étais bien décidé à faire confiance à Mamie. pourtant je ne l'avais jamais vue jusqu'à ce jour et sa figure usée, ses yeux bleus, flétris, ne me rappelaient en rien le visage de ma mère. En dépit du chocolat à la crème qu'elle m'avait acheté à un distributeur automatique, elle n'était pas encore parvenue à m'inspirer de l'affection. Durant le voyage de Winton, dans un compartiment de troisième classe, elle était restée tristement assise en face de moi. Elle portait une robe gris râpé, fermée par une grosse broche de perles, une étroite fourrure miteuse autour du cou et un chapeau cloche noir, incliné sur l'oreille. La tête tournée de côté, elle regardait par la portière en remuant les lèvres et semblait entretenir avec elle-même une conversation silencieuse , sans doute émouvante, car, de temps à autres, elle s'essuyait les yeux avec une pochette, comme pour chasser une mouche.