Réponse :
Le poète rend ici un hommage non déguisé à son maître Raymond Queneau, co-fondateur de l'Oulipo, dont Roubaud est membre, et qui, le premier, le fit éditer chez Gallimard. Comme Queneau dans Courir les rues, Roubaud, en arpenteur infatigable de Paris, nous livre des poèmes composés durant la marche, qui nous aident à prendre la mesure de son monde.