je dois faire un exposé sur Voltaire et ses œuvre en oral pouvez-vous m'aider svp​

Sagot :

Réponse:

Lettres philosophiques (1734), Traité sur la tolérance (1763), La Henriade (1728), Zadig (1747), Micromégas (1752), L'ingénu (1767), Oedipe (1718), Zaïre (1732). En 1759, Voltaire publie "Candide", une de ses oeuvres romanesques les plus célèbres et les plus achevées.

Explications:

François-Marie Arouet, dit Voltaire, né le 21 novembre 1694 à Paris où il est mort le 30 mai 1778, est un écrivain, philosophe[n 1], encyclopédiste et homme d'affaires français qui a marqué le xviiie siècle.

Figure majeure de la philosophie des Lumières, anglomane[1], féru d'arts et de sciences, Voltaire marque son époque par sa production littéraire et ses engagements politiques. Son influence est décisive sur les classes fortunées libérales avant la Révolution française et pendant le début du xixe siècle.

Anticlérical mais déiste, il dénonce dans son Dictionnaire philosophique le fanatisme religieux de son époque. Sur le plan politique, il est en faveur d’une monarchie modérée et libérale, éclairée par les « philosophes ». Mettant sa notoriété au service des victimes de l’intolérance religieuse ou de l’arbitraire, il prend position dans des affaires qu’il a rendues célèbres : Jean Calas, Pierre-Paul Sirven, le chevalier de La Barre et le comte de Lally.

Tout au long de sa vie, Voltaire fréquente les Grands et courtise les monarques, sans dissimuler son dédain pour les classes populaires, mais il est aussi en butte aux interventions du pouvoir, ce qui le fera emprisonner à la Bastille et le pousse à l’exil en Angleterre. En 1749, après la mort d’Émilie du Châtelet, avec laquelle il a entretenu une liaison houleuse pendant quinze ans, il part pour la cour de Prusse mais, déçu dans ses espoirs de jouer un grand rôle auprès de Frédéric II à Berlin, il se brouille avec lui après trois ans et quitte Berlin en 1753. Il se réfugie un peu plus tard aux Délices, près de Genève, avant d’acquérir en 1759 un domaine à Ferney, sur la frontière franco-genevoise. Il ne retourne à Paris qu’en 1778, ovationné par ses partisans après une absence de près de vingt-huit ans. Il y meurt à 83 ans.