Sagot :
Réponse:
Ronsard pris Marie de bien vouloir l'aimer :
indicatif : vers 2
impératif : vers 6
indique des prières insistante pour convaincre Marie d'aimer Ronsard.
L'auteur cherche donc a convaincre Marie par un raisonnent construit
Le premier argument, il repose sur le prénom de la femme aimée. C’est un argument qui repose sur une conception cratyléenne du langage (alliance naturelle entre le mot et la chose : le mot n’est pas choisi au hasard) : le simple nom de Marie signifie l’amour. Cela est naturel, d’où la présence du « donc ».
Deuxième argument, vers 4 à 6, il repose sur l’idée que le poète est l’amant idéal. Le superlatif au vers 4 prouve que Ronsard est un amant exceptionnel, apte à offrir les plaisirs de la vie à Marie.
Troisième argument aux vers 7 et 8, il repose sur l’idée de fidélité. L’emploi des verbes au futur signale qu’il envisage l’avenir du couple : « prendrons » (v.7), « pourras » (v.8)
On peut également voir un argument général :
L'amour est un fondament même de l'Homme et de la vie, personne ne peut s'en passer. Le terme " quelque chose " montre que ce n'est pas l'objet de l'amour qui compte mais le fait d'aimer. La référence au Scythe, un peuple barbare et ultraviolent amène un coté inhumain et repoussoire.
On peut voir un autre argument général :
celui qui n'aime pas, se prive de la douceur décrit dans ce poème comme un bien suprême.