Re bonjour je doit completer ces questions de germinal de zola
je n'ai pas le texte mais une aide serait tres précieuse


3. Comment la panique se manifeste-t-elle? Citez le texte.

4. Où les mineurs courent-ils des les premières minutes de l’accident?

5. Quelle est la figure de style employée ici avec cette expression « ce galop d’hommes noirs » ?

6. Comment se comportent les hommes et les femmes dans ce passage? quel adjectif pouvez-vous employer pour les définir? Justifiez.

7. Pourquoi selon vous, Levaque ne dit-il pas la vérité au coron, au sujet de l’accident?

8. Que ressent le lecteur à la lecture de cette scène?

9. Quel message Zola a-t-il voulu délivrer à travers ce texte?


Sagot :

Réponse :

3.  La panique se manifeste par des mouvements désordonnés des mineurs paniqués.

" Et, aveuglés, étouffés, les mineurs descendaient de toutes parts,"

" ce galop d’hommes noirs,"

"Une seconde bande, venue par la taille du fond, se trouvait de l’autre côté des terres"

4. Pour échapper à la catastrophe : il reste les acages si elles sont accessibles ou les échelles.

5. Une métaphore : des hommes // des chevaux

(il manque la suite de l'extrait à travailler)

Explications :

Et, tout d’un coup, comme le petit allait s’élancer pour rejoindre son train, un craquement formidable s’était fait entendre, l’éboulement avait englouti l’homme et l’enfant.

Il y eut un grand silence. Poussée par le vent de la chute, une poussière épaisse montait dans les voies. Et, aveuglés, étouffés, les mineurs descendaient de toutes parts, des chantiers les plus lointains, avec leurs lampes dansantes, qui éclairaient mal ce galop d’hommes noirs, au fond de ces trous de taupe. Lorsque les premiers butèrent contre l’éboulement, ils crièrent, appelèrent les camarades. Une seconde bande, venue par la taille du fond, se trouvait de l’autre côté des terres, dont la masse bouchait la galerie. Tout de suite, on constata que le toit s’était effondré sur une dizaine de mètres au plus. Le dommage n’avait rien de grave. Mais les cœurs se serrèrent, lorsqu’un râle de mort sortit des décombres.